Les limites communales de Val-d'Épy et celles de ses communes adjacentes.
Toponymie
La commune appraît sous le nom d'Épy en 1801. À la suite de l'intégration de Lanéria en 1971, Épy devient Épy-Lanéria. Deux années plus tard avec la fusion association avec Poisoux, Val-d'Épy apparaît en 1973 comme étant le nouveau nom de la commune[5].
Histoire
Hameaux formant la commune.
Épy absorbe Tarcia en 1821.
Le hameau de Poisoux est en grande partie détruit par la division Freiwilligen-Stamm le 18 juillet 1944. Dans le monument aux morts du village, il est inscrit sur une plaque : « Passant, souviens-toi le 18 juillet 1944, Poisoux a été incendié par les troupes allemandes ». Actuellement, il est possible de remarquer que les maisons sont toutes récentes, ce qui n'est pas le cas dans les autres villages.
À la fin du XXe siècle, deux communes fusionnent avec Épy. Lanéria est la première en 1971, et Poisoux fait de même en 1973 mais elle possède à cette époque le statut de commune associée[5]. Ce n'est qu'en 1978 que la fusion-association se transforme en fusion simple.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans.
Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[6]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en [7],[Note 1].
↑Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.