Selon Tropicos (21 septembre 2017)[5] (Attention liste brute contenant possiblement des synonymes) :
Uapaca guineensis var. guineensis
Uapaca guineensis var. sudanica (Beille) Hutch.
Reproduction
La dissémination de ses graines est facilitée par les éléphants, celles-ci étant capables de germer dans les excréments d'éléphant[6].
Voir aussi
Bibliographie
A. Lubini and A. Mandango, « Étude phytosociologique et écologique des forêts à Uapaca guineensis dans le nord-est du district forestier central (Zaïre) », in Bulletin du Jardin botanique National de Belgique, vol. 51, no 3/4 (Dec. 31, 1981), p. 231-254, [lire en ligne]
[Eyog Matig et al. 2006] Oscar Eyog Matig, Ousseynou Ndoye, Joseph Kengue et Abdon Awono (éds.), Les fruitiers forestiers comestibles du Cameroun, IPGRI (International Plant Genetic Resources Institute), , 220 p. (ISBN978-92-9043-707-9 et 92-9043-707-3, lire en ligne [sur books.google.fr]), p. 87-89.
↑(de + la) Jean Müller, Flora oder Botanische Zeitung : welche Recensionen, Abhandlungen, Aufsätze, Neuigkeiten und Nachrichten, die Botanik betreffend, enthält, vol. 47, Die Gesellschaft, (lire en ligne), p. 517
↑D.-Y. Alexandre, « Le rôle disséminateur des éléphants en forêt de Taï, Côte-d'Ivoire », Revue d'Écologie, no 1, , p. 47–72 (lire en ligne [PDF], consulté le ).