Teresa de la ParraTeresa de la Parra
Ana Teresa Parra Sanojo (17e arrondissement de Paris, [1] - Madrid, ) est une femme de lettres vénézuélienne, plus connue sous le nom de Teresa de la Parra, et l'un des auteurs les plus estimés de son temps. BiographieBien qu'elle ait passé la majeure partie de son existence à l'étranger, elle a su exprimer dans son œuvre littéraire l'atmosphère intime et familière du Venezuela de l'époque. Elle est venue à l'écriture à travers le journalisme et a écrit deux romans qui l'ont immortalisée dans toute l'Amérique : Ifigenia (1924)[2] et Memorias de Mamá Blanca (1929)[3]. Son roman le plus connu, Ifigenia, a mis en scène pour la première fois dans son pays le drame d'une femme en butte à une société qui ne lui permet pas d'avoir une voix propre. Elle était la fille de Rafael Parra Hernáiz, ambassadeur du Venezuela à Berlin, et d'Isabel Sanojo, et elle passa son enfance dans la grande hacienda familiale Tazón. Teresa de la Parra est décédée à Madrid et est enterrée au Panthéon national du Venezuela. Notes et références
Liens externes
|
Portal di Ensiklopedia Dunia