Sites Ramsar en Côte d'IvoireLa convention de Ramsar recense les zones humides reconnues pour leur importance internationale par leurs biodiversité et par les services qu'elles rendent au populations humaines. Elle est entrée en vigueur en Côte d’Ivoire le . En 2005, l'état ivoirien a classé cinq nouveau sites Ramsar, portant leur nombre à six, ils couvrent une superficie totale de 127,344 hectares, à partir de cette date. Tous ces sites sont côtiers. En 2020, ce chiffre n'avait pas évolué. Cadre institutionnelLes sites Ramsar en Côte d'Ivoire s'inscrivent dans le cadre de la Convention de Ramsar à laquelle la Côte d'Ivoire est partie et qui concerne l'indentification de zones humides d'importance internationale. La Côte d'Ivoire a installé par décret[1], un Comité National Ramsar intégrant auprès des autorités gouvernementales, des chercheurs, des universitaires, et des responsables d'organisation non gouvernementales, tous compétents en divers domaines de la gestion des zones humides[2]. ImportanceLes sites Ramsar en Côte d'Ivoire ont une importance à la fois biologique et socio-culturelle. Ils offrent notamment, un cadre propice de conservation et de développement à de nombreuses espèces animales en danger. Ils abritent des espèces emblématiques, tels les éléphants de forêt, les chimpanzés, l'hippopotame pygmée, le crocodile, et les lamantins. Ils sont également, un centre important de nidification pour cinq espèces de tortues (verte, imbriquée, tortue olivâtre, tortue luth et tortue marine), et constituent pour de nombreuses espèces d'oiseaux un site de reproduction, de repos ou d'alimentation. Liste
Notes et références
Voir aussiArticles connexes |
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