Richard Mallié est père de trois enfants et grand-père de 5 petits-enfants[réf. nécessaire].
Il est militant d'une corporation au cours de ses études dentaires à l'université d'Aix-Marseille avant de prendre sa carte au Parti républicain en 1981. Il devient secrétaire de circonscription en 1988, puis maire de Bouc-Bel-Air en 1989, réélu en 1995 et en 2001, année où il devient également conseiller général du canton de Gardanne[réf. nécessaire].
Son élection en 2001 est cependant invalidée par le tribunal administratif de Marseille, statuant sur saisine de la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques, en raison d'infractions aux règles relatives au financement des campagnes électorales. Il n'avait pas dépassé le plafond des dépenses mais il avait trop de dépenses financées par lui-même ; ses recettes étaient légales.
Son inéligibilité pour une période d'un an est confirmée en 2002 par jugement définitif du Conseil d'État[1].
Candidat pour la première fois aux élections législatives en 2002, Richard Mallié est élu député dans la 10e circonscription des Bouches-du-Rhône (Gardanne), en battant le député communiste. Il est réélu le . Il fait partie du groupe UMP. Secrétaire de l'Assemblée Nationale entre 2005 et 2007, il est élu au poste de premier questeur le .
À ce poste, rapporte Mediapart, il confie diverses tâches personnelles à son majordome telles que la livraison de meubles à ses proches ou des achats personnels. Selon le journal d'investigation, il « semble [également] que Richard Mallié ait fait montre, pendant son mandat, d’une vigilance relative face aux pratiques de lobbying »[2],[3]. Richard Mallié répond : « Son contrat stipulait qu’il était à mon service, il était donc à mon service. Je n’ai jamais abusé[3]. »
Le , il est membre fondateur du Collectif parlementaire de la Droite populaire[4].
Il est battu en triangulaire lors des élections législatives de 2012 par le candidat EELVFrançois-Michel Lambert. En 2014, il est réélu maire de Bouc-Bel-Air.
Il est réélu conseiller départemental en 2015 et en 2021.
Lors des élections municipales de 2020, la liste qu'il dirige l'emporte dès le 1er tour, avec 63,2 % des voix contre deux listes adverses[5].
Groupe d'études : Tibet (Vice-Président), Trufficulture (Vice-Président), Alimentation et santé (Membre), Artisanat et métiers d'art (Membre), Biocarburants (Membre), Chasse (Membre), Commerce des armes légères et de petit calibre (Membre), Construction et logement (Membre), Contrefaçon (Membre), Fruits et légumes (Membre), Maladies orphelines (Membre), Partenariats publics et privés (Membre), PME (Membre), Professions libérales (Membre)
Organismes extra-parlementaires
Membre titulaire du conseil de l'immobilier de l'État jusqu'en 2012.
Prises de position
Cette section contient une ou plusieurs listes. Le texte gagnerait à être rédigé sous la forme de paragraphes synthétiques. Les listes peuvent demeurer si elles sont introduites par une partie rédigée et sourcée, de façon à bien resituer les différents éléments (août 2017).
Richard Mallié, dans la ligne de la Droite populaire, s'est montré :
↑C.B., « Municipales à Bouc-Bel-Air : le maire sortant Richard Mallié (LR) est réélu dès le premier tour », La Provence, (lire en ligne, consulté le ).