Fan de judo et judoka et en lien avec ses postes de directeur de communication successif, il réalise des partenariats avec la fédération française de judo (DALKIA 2016) ou avec des judokates et judokas.
Il commence sa carrière en 1991 comme chargé d'études économiques au sein de l'Institut de commerce et de la consommation (ICC). En 1994, il devient chargé de mission auprès du directoire du groupe Bayard Presse SA[3],[4].
Journaliste
Renaud Czarnes se tourne vers le journalisme en 1996. Passionné de musique et en particulier de jazz, il collabore en tant que pigiste avec les rédactions de Jazzman, Batteur Magazine et Télérama, où il suit la culture, et notamment la musique.
De 1997 à 2000, journaliste au sein du service économique du journal La Croix, il est responsable des rubriques énergie, télécommunications et banque. Il continue à suivre l'actualité musicale jazz[5].
En 2000, il rejoint le quotidien Les Échos où il travaille pour la rubrique industrie, responsable de la rubrique « énergie », en couvrant notamment les grandes actualités du secteur de l’énergie[6],[7],[8] ; puis pour la rubrique culture, comme chef de service adjoint "Les Echos Week-end"[9]. En 2008, il devient journaliste politique[4],[3],[10].
Parallèlement à son activité de journaliste, Renaud Czarnes développe progressivement celle de photographe. À partir de 2005, il illustre régulièrement les articles qu'il écrit de ses propres prises de vue. Il photographie également les concerts auxquels il assiste.
Trois expositions sont issues de ces tirages de photos de concerts :
En 2014, Renaud Czarnes rejoint le groupe Dalkia, filiale du groupe EDF spécialisée dans les services énergétiques et la production d’énergie décentralisée, en tant que directeur de la communication et membre du comité exécutif[14],[15],[16].
Il enseigne par ailleurs à Sciences Po depuis 2015[2], intervenant sur le fonctionnement des médias et les enjeux des relations entre politiques et médias[17], sujet sur lequel il prend position dans les médias[18], ainsi que d'autres sujets liés aux médias et à la communication[19], comme le storytelling[20]. Il défend notamment l'idée que la communication doit s'inspirer du journalisme[21], et qu'elle doit être sincère plutôt que de s'afficher comme "responsable" ou "durable"[22].
En février 2019, il revient sur son expérience en politique[23] et en communication en publiant un Anti-manuel de communication politique aux éditions Kawa[24],[25],[26].
En octobre 2020, il devient directeur exécutif chargé de la communication de l'entreprise RTE[27].
Nos amies les lettres, émissions littéraires pour deux à quatre voix, recueil de saynètes comiques destinées au théâtre (Editions Art et Comédie, 2011)
Anti-manuel de communication politique, publié aux éditions Kawa en février 2019[1],[24],[25],