Le lit d'Antoine de Lorraine et de Renée de Bourbon-Montpenser qui pourrait avoir été exécuté pour leur mariage en 1515, est un « exemple unique de lit d'apparat du XVIe siècle parvenu à nos jours[1] ». Le châlit (ou « bois de lit »), monté en « lit à quenouilles » depuis le XIXe siècle[2] et plus récemment garni de courtines, est exposé au musée national de la Renaissance, à Écouen.
Lit d'Antoine de Lorraine, bois de lit sculpté, peint et doré, XVIe siècle, Mobilier national, déposé au Musée lorrain, à Nancy. Carte postale du premier tiers du XXe siècle.Lit d'Antoine de Lorraine et de son épouse Renée de Bourbon-Montpensier garni de tentures modernes, exposé à Écouen au musée national de la Renaissance (prêt du Musée lorrain).
↑Thierry Crépin-Leblond, In : France 1500 : Entre Moyen Age et Renaissance, catalogue de l'exposition du Grand Palais à Paris, 6 octobre 2010-10 janvier 2011, Paris Réunion des Musées nationaux, 2010, p. 307.
↑Edmond Bonnaffé, Le meuble en France au XVIe siècle, Paris, J. Rouam, 1887, pp. 201-203 (en ligne).
Voir aussi
Bibliographie
Jacqueline Carolus-Curien, Pauvres duchesses, Metz, Serpenoise, , 215 p. (ISBN9782876927155), p. 75-90
Muriel Barbier et Pierre-Hippolyte Pénet, « Le lit du duc Antoine de Lorraine et de la duchesse Renée de Bourbon : une nouvelle vie grâce au numérique », In Situ [En ligne], 40 | 2019, mis en ligne le 15 septembre 2019, consulté le 29 janvier 2023. URL : http://journals.openedition.org/insitu/24089 ; DOI : https://doi.org/10.4000/insitu.24089
.jpg)
