Raphaël Quenard naît le [1],[2] à Échirolles[1],[2],[3], dans la périphérie de Grenoble, d'un père ingénieur et d'une mère travaillant dans les assurances[4]. Il grandit à Gières[5],[6] dans cette même périphérie grenobloise.
Raphaël Quenard commence sa carrière d'acteur comme élève au cours de Jean-Laurent Cochet[7] qui, intéressé par les possibilités de ce jeune comédien, l'accueille gratuitement. Il tourne alors dans plusieurs courts métrages d'amateurs et fréquente l'association 1000 visages de Houda Benyamina[4].
Il rencontre Emma Benestan lors d'un atelier animé par la réalisatrice[4]. Elle le fait tourner en 2019 dans son court métrage L'Amour du risque, puis en 2021 dans son premier long métrage Fragile. Sur le tournage, il rencontre la chef opératrice Emilie Noblet qui lui conseille d'auditionner pour le casting de la série HP. Raphaël Quenard décroche le rôle de l’interne maniaco-dépressif Jimmy de cette série qui sera diffusée pendant deux saisons sur OCS. En 2021, on le voit dans la troisième saison de la série Netflix Family Business d'Igor Gotesman ; il y interprète un des personnages principaux.
Raphaël Quenard s'impose à l'écran[11] avec son interprétation de Mirales, l'un des personnages principaux de Chien de la casse de Jean-Baptiste Durand en 2023[12] ; il avait d'ailleurs bataillé pour obtenir ce rôle (en se rendant aux projections des courts métrages de Durand et en lui écrivant plusieurs messages sur Facebook, afin de pouvoir le rencontrer[4]).
Cette même année, il obtient le rôle principal du film Yannick de Quentin Dupieux. Ce dernier est un succès commercial et critique.
Sauf indication contraire ou complémentaire, les informations mentionnées dans cette section peuvent être confirmées par les bases de données Allociné et IMDb.
Sauf indication contraire ou complémentaire, les informations mentionnées dans cette section peuvent être confirmées par les bases de données Allociné et IMDb.
↑« Raphaël Quenard crève l’écran dans cette chronique de la jeunesse de province |...| un jeune acteur phénoménal, tout en gouaille, spleen et fanfaronnades |...| Raphaël Quenard, sidérant dans la peau de ce Mirales sans cesse sur le fil, voire au bord du précipice, entre cafard, vantardise et agressivité. Une performance de haut vol. » Renaud Baronian dans Le Parisien du 19.04.2023.