Avec l’orthographe proposée dans l’ASG, les voyelles longues sont notées en doublant la lettre : ‹ aa, ee, ii, oo, uu ›. Les tons sont indiqués à l’aide d’accent[4] :
le ton supra-haut avec le double accent aigu ;
le ton haut avec l’accent aigu ;
le ton bas avec l’accent grave ;
le ton montant avec l’accent antiflexe ;
le ton descendant avec l’accent circonflexe.
La traduction de la Bible en punu publiée par l’Alliance Biblique du Cameroun en 1992 utilise une orthographe proche de l’ASG, utilisant les lettres ‹ g, v › au lieu de ‹ ɣ, ꞵ › et sans indiquer les tons[5].
↑ R. P. J. Bonneau, Grammaire Pounou (suite) Dans: Journal des Africanistes, 1947, 17, p. 23-50
Voir aussi
Bibliographie
« Actes du séminaire des experts, Alphabet scientifique des langues du Gabon (20/24 février 1989) », Revue Gabonaise des Sciences de l’Homme, Libreville, Université Omar Bongo, no 2,
Jérôme T. Kwenzi Mikala, « Yipunu », Revue gabonaise des sciences de l’Homme, Libreville, Université Omar Bongo, no 2 « Actes du séminaire des experts, Alphabet scientifique des langues du Gabon (20/24 février 1989) », , p. 299-306
Mabik-ma-Kombil, Parlons yipunu : langue et culture des Punu du Gabon-Congo, Paris, L’Harmattan, , 210 p. (ISBN2-7475-1544-3)
Roger Mickala-Manfoumbi, Dictionnaire des noms propres punu, Alpha-Omega, , 204 p. (ISBN978-2-914876-02-5)
(en) Yasutoshi Yukawa, A classified vocabulary of the Punu language, Tokyo, Research Institute for Languages and Culture of Asia and Africa (ILCAA), , 89 p. (ISBN4-87297-930-3, lire en ligne)