Le texte ne doit pas être écrit en capitales (les noms de famille non plus), ni en gras, ni en italique, ni en « petit »…
Le gras n'est utilisé que pour surligner le titre de l'article dans l'introduction, une seule fois.
L'italique est rarement utilisé : mots en langue étrangère, titres d'œuvres, noms de bateaux, etc.
Les citations ne sont pas en italique mais en corps de texte normal. Elles sont entourées par des guillemets français : « et ».
Les listes à puces sont à éviter, des paragraphes rédigés étant largement préférés. Les tableaux sont à réserver à la présentation de données structurées (résultats, etc.).
Les appels de note de bas de page (petits chiffres en exposant, introduits par l'outil « Source ») sont à placer entre la fin de phrase et le point final[comme ça].
Les liens internes (vers d'autres articles de Wikipédia) sont à choisir avec parcimonie. Créez des liens vers des articles approfondissant le sujet. Les termes génériques sans rapport avec le sujet sont à éviter, ainsi que les répétitions de liens vers un même terme.
Les liens externes sont à placer uniquement dans une section « Liens externes », à la fin de l'article. Ces liens sont à choisir avec parcimonie suivant les règles définies. Si un lien sert de source à l'article, son insertion dans le texte est à faire par les notes de bas de page.
Les prieurés de l'ordre de Fontevraud étaient implantés majoritairement dans la moitié ouest de la France. Patrick Bouvard a consacré sa thèse aux (…) prieurés de l’ordre de Fontevraud fondés dans le diocèse de Poitiers au XIIe siècle. Conditions d’implantation, topographiemonastique et évolution[2]. Ces prieurés étaient regroupés en quatre provinces.
Si le chiffre de 57 prieurés est souvent retenu, il est à noter que selon les Bulletins de l'Association des prieurés fontevristes (A.P.F.), association dont le siège est situé au Prieuré Notre-Dame de Longefont à Oulches (Indre), sont considérés également comme prieurés fontevristes :
le prieuré de Saint-Bibien. Le Grand Saint-Bibien, à Vouhé (Charente-Maritime)[APF 1]. L’église, l’emplacement du prieuré de l’ordre de Fontevraud au Grand St Bibien avec sa fontaine et le vieux chêne (qui sont tous les deux sur Benon, mais limitrophes de Vouhé)[3] ;
le prieuré de La Pignardière à Chantonnay (Vendée). L’implantation de ce prieuré résulte d’une demande de terre adressée à Pierre de Pareds par le Pape Calixte II1119[4],[APF 2] ;
En outre, le site Prieurés fontevristes[12] intègre aussi dans la liste des prieurés :
Prieuré de Guesnes (Vienne). Pour plus de détails sur ce prieuré fontevriste, voir infra Nouveau classement décidé par l'Abbesse Jeanne-Baptiste de Bourbon 1637-1670.
le prieuré de la Grâce-Dieu ou Lagrâce-Dieu, à Auterive (Haute-Garonne). Pour plus de détails sur ce prieuré fontevriste, voir infra Nouveau classement décidé par l'Abbesse Jeanne-Baptiste de Bourbon 1637-1670.
Clair-Ruissel ou Clairuissel à Gaillefontaine (Seine-Maritime). Dépendant du diocése de Rouen, ce prieuré fut fondé au milieu du XIIe siècle en pays de Bray par Hugues IV de Gournay (+1180) qui favorisa amplement Clairuissel par des biens et revenus dont certains en Angleterre. Clairuissel essaima à Fumechon (27170) et connut une grande prospérité jusqu'à la Révolution. Son temporel s’accrut également grâce aux dons des seigneurs d’Angy (60250) et de Saint-Germain sur Eaulne (Seine-Maritime)[PF 3].
Val de Morière[APF 15]. C'est dans ce couvent de sœurs fontevristes qui n'avaient pas quitté leur établissement malgré le régime de la Terreur, que François Athanase Charette de La Contrie fit soigner sa blessure le surlendemain du combat du Mortais[20]. Cela coûta la vie aux neuf religieuses résidentes.
Beaulieu à Riorges (Loire)[APF 17]. Du prieuré au château de Beaulieu[21]. Un quartier des armoiries contemporaines de Riorgues évoque le prieuré ancien[DOMF 2]. Lettres patentes du roi du portant union des bénéfices du prieuré de Riorges au collège jésuite de Roanne[22].
Blessac (Creuse). Dépendait de ce prieuré une maison hospitalière dotée d'une chapelle (XIIe siècle), réparée au XVe siècle, maison occupée en 1258 par des religieuses fontevristes[23]. Ce prieuré sis sur la commune homonyme (23200) qui a fait l’objet de travaux d’Agnés Brahim-Giry[DOMF 3] est situé à 40 km au S/E de Guérêt. Au printemps 2018, la Fondation du Patrimoine a lancé un appel pour contribuer à sa restauration[DOMF 4]. Un Diaporama des lieux est accessible via[24]. Un aperçu de l’histoire du prieuré peut être retrouvé grâce au lien suivant[25]. L'histoire a conservé le souvenir de Marie, une des prieures de Blessac, qui aurait vécu entre 1375 et 1425.
Brioude (Haute-Loire)[APF 18],[APF 19] Et si l'ordre de Fontevraud avait pu revivre ? Cette espérance fut hélas déçue comme on va le voir[DOMF 5]. Réédition d'une histoire du prieuré de Brioude imprimée au XIXe siècle[26].
Esteil (Puy-de-Dôme)[APF 20]. Ce prieuré fut fondé sous Pétronille de Chemillé[DOMF 6]. L’église St Jean (Baptiste ?) à l’architecture romane[27] au cœur de ce bourg de 65 habitants témoigne de l’implantation en ce lieu (1151 à 1795) d’un ancien prieuré fontevriste. sur un terrain offert par Bertrand Drac et son frère Guillaume, seigneurs de Châteauneuf du Drac[réf. nécessaire]. La Révolution française entraîna la sécularisation du lieu et la vente des bâtiments prioraux le 28 Messidor an IV de la République comme bien de l’État, L’état de l’ église dont la partie Ouest (c’est-à-dire opposée à l’autel) appartient encore à un exploitant agricole témoigne de cette sécularisation. En 1767, ces moniales issues de l’aristocratie et de la bourgeoisie étaient encore une vingtaine à y vivre. Celles que l’on appelait les « dames de Fontevraud », du nom de la célèbre abbaye royale, située près de Saumur, en Anjou[28] et dont témoigne encore non loin d'un passage vouté sis derrière l'église une plaque portant la mention « rue des dames » (de Fontevraud).
Glatigny à Chabris (Indre). Pour plus de détails sur ce prieuré fontevriste, voir infra Nouveau classement décidé par l'Abbesse Jeanne-Baptiste de Bourbon 1637-1670.
Les Cerisiers à Fougeré (Vendée). Pour plus de détails sur ce prieuré fontevriste, voir infra Nouveau classement décidé par l'Abbesse Jeanne-Baptiste de Bourbon 1637-1670.
Lencloître-en-Gironde à Lencloître (Vienne). Pour plus de détails sur ce prieuré fontevriste, voir infra Nouveau classement décidé par l'Abbesse Jeanne-Baptiste de Bourbon 1637-1670.
Notre-Dame de Saint-Sauveur de Montaigu (Vendée)[APF 29].
Montazais à Savigné (Vienne). Pour plus de détails sur ce prieuré fontevriste, voir infra Nouveau classement décidé par l'Abbesse Jeanne-Baptiste de Bourbon 1637-1670.
Abbaye de Boulaur à Boulaur (Gers). Pour plus de détails sur ce prieuré fontevriste, voir infra Nouveau classement décidé par l'Abbesse Jeanne-Baptiste de Bourbon 1637-1670.
La Madeleine à Saint-Jean de la Ruelle (Loiret)connu aussi sous le nom le prieuré de la Magdeleine lez Orléans à Orléans (Loiret)[APF 30]. Le prieuré de la Madeleine a connu l’infortune d’être détruit deux fois. Le siège d’Orléans, cernée par les Anglais en 1428, entraina sa destruction préventive. Quant à sa destruction définitive, c’est la Révolution française qui la consomma entre 1799 et 1805. Heureusement des fouilles archéologiques ont permis de renouer bien des fils; Découverte exceptionnelle dans le prieuré fontevriste de la Madeleine à Orléans la sépulture de l'abbesse Marie de Bretagne. Les restes d'une Abbesse[APF 31].
La Rame à Mazères (Gironde). Pour plus de détails sur ce prieuré fontevriste, voir infra Nouveau classement décidé par l'Abbesse Jeanne-Baptiste de Bourbon 1637-1670.
Lespinasse (Haute-Garonne). Pour plus de détails sur ce prieuré fontevriste, voir infra Nouveau classement décidé par l'Abbesse Jeanne-Baptiste de Bourbon 1637-1670.
Longages (Haute-Garonne) . Pour plus de détails sur ce prieuré fontevriste, voir infra Nouveau classement décidé par l'Abbesse Jeanne-Baptiste de Bourbon 1637-1670.
Momères (Hautes-Pyrénées).Pour plus de détails sur ce prieuré fontevriste, voir infra Nouveau classement décidé par l'Abbesse Jeanne-Baptiste de Bourbon 1637-1670.
Prieuré du Paravis à Feugarolles (Lot-et-Garonne). Pour plus de détails sur ce prieuré fontevriste, voir infra Nouveau classement décidé par l'Abbesse Jeanne-Baptiste de Bourbon 1637-1670.
Bragayrac à Saint-Aignan (Tarn-et-Garonne). Pour plus de détails sur ce prieuré fontevriste, voir infra Nouveau classement décidé par l'Abbesse Jeanne-Baptiste de Bourbon 1637-1670.
Saint-Laurent à Saint-Laurent-sur-Save (Haute-Garonne). Pour plus de détails sur ce prieuré fontevriste, voir infra Nouveau classement décidé par l'Abbesse Jeanne-Baptiste de Bourbon 1637-1670.
Sainte-Croix à Sainte-Croix-Volvestre (Ariège). Pour plus de détails sur ce prieuré fontevriste, voir infra Nouveau classement décidé par l'Abbesse Jeanne-Baptiste de Bourbon 1637-1670.
Prieuré de Tusson (Charente) ; Pour plus de détails sur ce prieuré fontevriste, voir infra Nouveau classement décidé par l'Abbesse Jeanne-Baptiste de Bourbon 1637-1670.
Vaupillon ou Vopillon à Beaumont (Gers . Pour plus de détails sur ce prieuré fontevriste, voir infra Nouveau classement décidé par l'Abbesse Jeanne-Baptiste de Bourbon 1637-1670.
Prieuré de Villesalem à Journet (Vienne). Pour plus de détails sur ce prieuré fontevriste, voir infra Nouveau classement décidé par l'Abbesse Jeanne-Baptiste de Bourbon 1637-1670.
Nouveau classement décidé par l'Abbesse Jeanne-Baptiste de Bourbon 1637-1670. Les quatre classes de prieurés
C'est probablement pour des raisons purement techniques - faciliter les missions d'inspection des Visiteurs de l'Ordre - que l'abbesse regroupa les prieurés fontevristes dans les quatre catégories qui suivent.
Classe de Tusson
comprenant « Guaine, L’Encloistre en Gironde, La Puye, Villesalem, Montazay, Boubon, Fonteine en Périgord, Les Ceriziers, La Regrepiere, le Val-de-Mauriere », en tout avec Tusson onze maisons.
Le prieuré de Guesnes, à Guesnes (Vienne)[PF 10]. Le , au moment de leur mise en vente après confiscation, les trois « enclôtures » de la communauté comprennent des cours, granges, écuries, toits, fuye (pigeonnier), jardins, vignes, enclos, laverie couverte, canal à poisson, arbres de toutes espèces, ormeaux, peupliers, fruitiers, le tout sur 13 arpents[PF 10],
Prieuré de Boubon à Cussac (Haute-Vienne). Historique: Le prieuré fontevriste de Boubon, fondé en 1106 sur le territoire de l’actuelle commune de Cussac, appartient à la vingtaine d’établissements créés du vivant du fondateur de l’ordre, Robert d’Arbrissel. Détruit au cours de la guerre de Cent Ans, l’établissement fut reconstruit grâce aux familles nobles des environs, notamment les Lastours, les Pompadour, les Montbrun et les Pérusse des Cars, mais n’abrita plus désormais que des religieuses. Renée de Bourbon, abbesse de Fontevrault, y envoya sept moniales, qui reprirent possession de Boubon le . Le lieu de Boubon, relativement éloigné de Cussac, est érigé en paroisse en 1692. Les religieuses sont expulsées et leurs biens confisqués en 1792. Il subsiste la maison du prieur du XVIIe siècle qui vient d’être vendue (2017) et une aile de l’ancien cloître du prieuré de femmes également privé[41]
Prieuré du Val de Morière Touvois (Loire-Atlantique)[APF 15]. C'est dans ce couvent de sœurs fontevristes qui n'avaient pas quitté leur établissement malgré le régime de la Terreur, que Charette fit soigner sa blessure le surlendemain du combat du Mortais[20]. Cela coûta la vie aux neuf religieuses résidentes[20].
Prieuré de Tusson (Charente) Il ne subsiste plus que des ruines majestueuses de l'église du prieuré des Dames. S'agissant du prieuré des Hommes bien mieux conservé en ce qui concerne les bâtiments monastiques, mais non la chapelle, dont il ne reste que les fondations[42]
Classe du Paravis
Comprenant « Font-Grave, Vaupillon, Le Breüil, Boulaur, Mommere, Saint-Laurent-sur-Save, Longage, la Grace Dieu, Saincte Croix, l’Espinasse, Saint-Aignan », en tout avec le Paravis, douze maisons.
Prieuré de Boulaur. Voir Abbaye de Boulaur à BoulaurGers (département). Ce prieuré appelé à l’origine Bonlieu (de Bonus locus déformé en Bouloc puis en Boulaur) était sis sur une hauteur surplombant la vallée de la Gimone, au Nord de Saramon. Il fut fondé en 1140 sous Pétronille de Chemillé, au diocèse d’Auch, par Longuebrune (veuve du Comte Bernard Ier d’Astarac) qui deviendra prieure et par son fils Sancha. Bientôt prospère, Boulaur essaima en 1151 dans le diocèse voisin de Comminges. L’avant-dernière Prieure de Boulaur, morte en 1785 appartenant à la famille de Montesquieu-Fezansac.
Prieuré de Momères (Hautes-Pyrénées) Bernadette Soubirous avant de partir pour Nevers où elle devait terminer sa vie y séjourna du lundi au samedi . Chaque jour, elle priait devant la Vierge en bois polychrome de l'église paroissiale, datant de l'époque des Dames de Fontevrault.
Prieuré de Saint-Laurent-sur-Saive (Haute-Garonne). La réforme de Fontevraud, de la fin du XVe siècle à la fin des guerres de Religion Saint-Laurent). Le prieuré de Saint-Laurent-sur-Saive fut réformé en 1523. Jean de Viguerie le cite dans son article La réforme de Fontevraud, de la fin duXVe siècle à la fin des guerres de Religion[43].
Prieuré de Longages (Haute-Garonne). Ce prieuré aurait été fondé entre 1117 et 1141 grâce à des donations de Martin de Maignouac, de Bernard Olivier de Longages et son frère Raymond[44]. Le , par délégation de L’abbesse de Fontevault ayant racheté les droits, pour 997 livres, dont disposait le roi sur le lieu la prieure devient la seule la seule maîtresse des lieux[45],[46].
Prieuré de L'Espinasse (Haute-Garonne). On s'accorde à penser que Robert d'Arbrissel ayant reçu de Philippa, fille de Guillaume IV comte de Toulouse, la forêt dite d’Espèse entre l’Hers et la Garonne, le . Pillé par les Anglais en 1351, incendié, hors l'église en 1570. La fin du XIXe siècle vit construire le portail intégrant quatre chapiteaux romans.
Prieuré de Bragerac Saint-Aignan (Tarn-et-Garonne). (actuel diocèse de Toulouse), fondé par Géraud de Sales sur les bords de la Garonne près de Castelsarrazin s’affilia à l'ordre monastique de Fontevraud en 1222. Son prieur Aimeri, avec l’assentiment de ses religieux et de l’évêque de Toulouse, déclara donc obéissance à Pétronille de Chemillé, venue en personne. La comtesse de Lomagne qui assistait à la cérémonie fit alors des donations qui augmentèrent le temporel de Bragerac. Ce prieuré ne comptait à l'époque que des moines. Des moniales étant venues renforcer l'édifice, celles-ci se trouvèrent vers 1130 trop nombreuses ce qui conduisit donc l'Abbesse Pétronille de Chemillé à les rappeler à la maison mère de Fontevraud: L'évêque d'Agen les pria de ne pas aller si loin et leur demanda de participer à une nouvelle fondation qui allait devenir le prieuré du Paravis.
Prieuré de Longefont ou Longe-fons à Oulches (Indre). Cet ancien prieuré est le siège de l'APF (Association des prieurés fontevristes) d'où les références fréquentes qui y seront faites. Parmi les Confesseurs des Dames de Longefont Frére René Brehin[APF 37],[APF 38],[APF 39],[APF 40],[50],[APF 41].
Comprenant, Vuariville, Moreaucourt, la Magdeleine d’Orléans, Collinance, Bellomer, Foicy, Long-pré, Fonteine en France, Chaize-Dieu, Clairrussel, Charme, Longueau, Haute-Bruyere, en tout avec Paris quatorze maisons.
Domaines agricoles fontevristes
L'histoire de l'Ordre de Fontevraud fait aussi apparaître des implantations monastiques fontevristes, parmi les premières de celle-ci, situées à peu de distance de l'Abbaye royale de Fontevraud, qui n'ont probablement jamais eu le rang de prieurés mais qui paraissent devoir être rattachés à l'étude des prieurés, ainsi en est-il de celui-ci Prieurés de l’Ordre de Fontevraud Raslay situé à 12 km de Fontevraud-l'Abbaye.
Notes et références
Publications de l'Association des Prieurés Fontevristes
↑« Fiche prieuré no 10 », Bulletin de l’APF (Association des Prieurés Fontevristes), no 4, , p. 61
↑« Fiche prieuré no 1 », Bulletin de l’APF (Association des Prieurés Fontevristes, no 2, , p. 61
↑« Fiche prieuré no 3 », Bulletin de l’APF (Association des Prieurés Fontevristes, no 2, , p. 65
↑« Cubas du prieuré fontevriste à l'église actuelle », Bulletin de l’APF (Association des Prieurés Fontevristes, no 6, , p. 44 à 54
↑« Fiche prieuré no 6 », Bulletin de l’APF (Association des Prieurés Fontevristes, no 3, , p. 72
↑« Fiche prieuré no 8 », Bulletin de l’APF (Association des Prieurés Fontevristes, no 3, , p. 74
↑« Fiche prieuré no 18 », Bulletin de l’APF (Association des Prieurés Fontevristes, no 6, , p. 59
↑« Fiche prieuré no 20 », Bulletin de l’APF (Association des Prieurés Fontevristes, no 6, , p. 63
↑« Fiche prieuré no 15 », Bulletin de l’APF (Association des Prieurés Fontevristes, no 5, , p. 63
↑« Fiche prieuré no 23 », Bulletin de l’APF (Association des Prieurés Fontevristes, no 8, , p. 65
↑« Fiche prieuré no 24 », Bulletin de l’APF (Association des Prieurés Fontevristes, no 9, , p. 57
↑« Fiche prieuré no 11 », Bulletin de l’APF (Association des Prieurés Fontevristes, no 4, , p. 50 ss
↑Bulletin de l'Association des Prieurés Fontevristes (APF) no 5 - Décembre 2015 p. 60
↑« Gérard Cahon et le prieuré de Moreaucourt 1967-2011 », Bulletin de l’APF (Association des Prieurés Fontevristes, no 4, , p. 37-57
↑ a et bDaniel Garriou, « L'incendie de 1706 au Val de Morière ou la désacralisation de l'espace conventuel », Bulletin de l'Association des Prieurés Fontevristes, Touvois, no 9, , p.27-35.
↑« Fiche prieuré no 30 », Bulletin de l’APF (Association des Prieurés Fontevristes, no 10, , p. 65
↑« Fiche prieuré no 12 », Bulletin de l’APF (Association des Prieurés Fontevristes, no 4, , p. 63
↑« Fiche prieuré no 19 », Bulletin de l’APF (Association des Prieurés Fontevristes, no 6, , p. 61
↑Alphonse Blanc, « Le couvent de Fontevraud à Brioude », Bulletin de l’APF (Association des Prieurés Fontevristes, no 9, , p. 7 à 25
↑« Fiche prieuré no 25 », Bulletin de l’APF (Association des Prieurés Fontevristes, no 9, , p. 59.
↑« Fiche prieuré no 9 », Bulletin de l'Association des prieurés fontevristes (APF), no 4, , p. 58
↑Michel Jay, « Notes historiques sur le prieuré de Pont-Ratier », Bulletin de l'Association des prieurés fontevristes (APF), no 9, , p. 36-54
↑ a et b« Fiche prieuré no 13 », Bulletin de l'Association des Prieurés Fontevristes (APF), no 5,
↑Aurélie Schnell, « Le prieuré Notre-Dame de Relay », Bulletin de l'Association des Prieurés Fontevristes (APF), no 3, , p. 47-70
↑« Fiche prieuré no 21 », Bulletin de l'Association des Prieurés Fontevristes (APF), no 8,
↑« Fiche prieuré no 22 », Bulletin de l'Association des Prieurés Fontevristes (APF), no 8, , p. 63
↑« Fiche prieuré no 27 », Bulletin de l’APF (Association des prieurés fontevristes), no 9, , p. 63
↑Maurice Mignet in Bulletin de l'Association des Prieurés Fontevristes (APF) no 6 - juin 2016 p. 21-29
↑« Fiche prieuré no 5 », Bulletin de l'Association des prieurés fontevristes (APF), no 3, , p. 71
↑Philippe Blanchard, « Le prieuré fontevriste de la Madeleine-les-Orléans par l'approche archéologique », Bulletin de l'Association des prieurés fontevristes (APF), no 8, , p. 27-47.
↑« Étude archéologique du prieuré de La Puye », Bulletin de l'Association des Prieurés Fontevristes (APF), no 8,
↑Fiche prieuré no 14 du Bulletin de l’APF (Association des Prieurés Fontevristes) no 5 -Décembre 2015- p. 59
↑« Fiche prieuré no 17 », Bulletin de l’APF (Association des Prieurés Fontevristes), no 6, , p. 57
↑« Fiche prieuré no 15 : Le prieuré de Paravis. 47230 Feugarolles », Bulletin de l'Association des prieurés fontevristes (APF), no 5, , p. 61
↑Christian Corvisier, « L'ancien prieuré du Paravis (Lot-et-Garonne) : Étude d'histoire architecturale », Bulletin de l'Association des prieurés fontevristes (APF), no 2, , p. 41-58.
↑Bulletin de l'APF no 2 février 2014.Verso de la page de couverture
↑« Les livres de comptes : une tranche de vie. Le journal du prieuré de Longefont sur les années 15559-1560 », Bulletin de l'Association des prieurés fontevristes (APF), no 1, , p. 5-16
↑« Fiche prieuré no 7 », Bulletin de l'Association des Prieurés Fontevristes (APF), no 3, , p. 76
↑« Trois ou quatre chapiteaux du Prieuré de Longefont », Bulletin de l'Association des prieurés fontevristes (APF), no 6, , p. 30-43. La renaissance d’une église, plus belle restauration del’année
↑« Fiche prieuré no 7 », Bulletin de l'Association des Prieurés Fontevristes (APF), no 3, , p. 73
↑Marc du Pouget, « Les indulgences du prieuré de Jarzay », Bulletin de l'Association des prieurés fontevristes (APF), no 1, , p. 17-18
↑« Fiche prieuré no 2 », Bulletin de l'Association des prieurés fontevristes (APF), no 2,
↑« Fiche prieuré no 29 », Bulletin de l'Association des prieurés fontevristes (APF), no 10, .
↑Le nom gascon de Mongie (Mongiá) signifie moine (monges) ; lieu d'un couvent de moines ou de moniales.
↑Archives Départementales de Gironde, G.833 Prieurés (1611-1760) No 48 Réclamations en modération de taxes ; Archives départementales de Maine-et-Loire à Angers, Dossier de l'Abbaye Royale de Fontevraud ; dossier Prieuré Fontevriste (côte 184H : prieuré de la Mongie, Vérac : Administration du prieuré, Aveux rendus à l'abbesse, baux à ferme du temporel, quittances, notes et affaires ecclésiastiques ; Abbayes et prieurés de l'Ancienne France, p. 106, Vérac : Sainte Madeleine de la Mongie..., par Charles Beaunier, 1910.
Les bâtiments conventuels de cet ancien prieuré de La Mongie étaient situés au lieu-dit actuel " La Mongie ", route de La Mongie 33240 Vérac. Ces lieux sont aujourd'hui des exploitations viticoles et des habitations privées. Il y avait également une paroisse sous le vocable de Notre Dame, située aux limites des villages de Galgon et de Vérac, au lieu-dit actuel Mongie-La-Chapelle, route de La Mongie, Vérac. Cette dernière comportait une chaire, des Fonts baptismaux, un Maître autel et un Cimetière. Elle était en ruine en 1778. Elle a totalement disparu aujourd'hui.
↑Bulletin de l’APF (Association des prieurés fontevristes) no 7 - décembre 2016 - p. 32 à 50
↑Jean-Marc Bienvenu, « L'Ordre de Fontevraud et la Normandie au XIIe siècle », Annales de Normandie, vol. 35, no 1, , p. 3-15 (DOI10.3406/annor.1985.1656, lire en ligne)
↑Ghislain Brunel, « L'implantation des ordres religieux de Rrémontré, Cîteaux et Fontevraud dans la région de Villers-cotterêts au XIIe siècle : une réponse à de nouveaux besoins ? », Mémoires de la Fédération des Sociétés d'histoire et d'archéologie de l'Aisne, vol. 32, , p. 217 (lire en ligne, consulté le )
↑Abbé Pierre Cubizolles, Le Diocèse du Puy-en-Velay des origines à nos jours, Créer, (lire en ligne), p. 132
↑« Cuon. La cloche du prieuré de Fontevraud est de retour », Le Courrier de l'Ouest, (lire en ligne, consulté le )
↑« La chapelle de La Lande, un lieu chargé d'histoire », Cahiers de l'histoire du Pays Maraîchin, no 2, , p. 77 à 88
↑Chibnall Marjorie, « L'Ordre de Fontevraud en Angleterre au XIIe s. », Cahiers de Civilisation Médiévale, vol. 29, no 113, , p. 41–47 (DOI10.3406/ccmed.1986.2313, lire en ligne, consulté le ).
↑Et trois dates pour terminer ce rapide rappel historique: 1791, le prieuré est vendu comme Bien national et est transformé en bâtiment agricole. 1914, le prieuré est classé Monument historique. 1961, le prieuré est racheté par l'État qui en commence la restauration
↑Jean De Viguerie, « La réforme de Fontevraud, de la fin du XVe siècle à la fin des guerres de Religion », Revue d'histoire de l'Église de France, t. 65, no 174 « La Réforme des réguliers en France de la fin du XVe siècle à la fin des guerres de religion », , p. 107-117. (DOI10.3406/rhef.1979.1637)