Saint-Cyrien, il fit partie de la promotion du Souvenir (1921-1923).
Il est diplômé docteur en droit en 1934, à la suite de sa soutenance de thèse portant sur les modalités et les conséquences de la pénétration militaire au Maroc[3], publiée chez Domat-Montchrestien[4],[5].
Il fut par ailleurs président de l'Association Bretonne de 1968 à 1972[13] et membre du Poellgor (comité directeur) de la Gorsedd de Bretagne.
Après avoir pris sa retraite, il fut investi en politique à l'échelle locale et fut à ce titre premier[14] adjoint au maire de Saint-Malo de 1967 à 1977[15],[16], pendant le mandat de Marcel Planchet.
Vie privée
Fils de Pierre Vallerie, greffier au tribunal de première instance de Rennes[3], officier d'administration de 1re classe, chevalier de la Légion d'honneur[17], il épousa en 1928 Simone Cavalan, fille d'Eugène Cavalan et Louise Petauton, propriétaires du grand magasin morlaisien Au Bon Accueil[18].
Il se retire définitivement au début des années 1960 à Saint-Malo et y mourut dans sa propriété, La Rochepiette, à Saint-Ideuc. La Rochepiette fut la propriété de Théodore Louis Bouvier des Touches (1775-1833), lieutenant-colonel de la Grande Armée[19] puis de François Marie Duval à la fin du XIXe siècle[20], préfet de la Côte d'Or, conseiller d'État honoraire et officier de la Légion d'honneur.
Il fut un ami proche du général de division Henry Pasteur, initiateurs des pèlerinages militaires de Lourdes[6] et du général Jean Regnault, issu de la promotion de la Croix du Drapeau (1913-1914).
↑Thierry Sarmant, L’administration centrale du ministère de la défense et des organismes rattachés, 1946-1969, Service historique de la Défense, , p. 20