Pierre-Ernest Guillier
Pierre-Ernest Guillier, né le à Périgueux (Dordogne) et décédé le à Saint-Émilion (Gironde), est un homme politique français. BiographiePierre-Ernest Guillier naît le à Périgueux (Dordogne), de l'union de Jacinthe François et Irma Fargeot des Essards[1],[2],[3]. Il devient jurisconsulte, avocat et bâtonnier de l'Ordre des avocats[3]. Parallèlement à sa profession, il s'engage dans divers organismes, tels que la société de secours mutuel, le bureau de bienfaisance ou la bibliothèque populaire[3]. Le , il épouse Suzanne Catherine Charmolüe, à Saint-Philippe-d'Aiguille[3]. En 1881, il devient conseiller municipal de Périgueux puis est élu maire de la ville le . Il est également élu sénateur de la Dordogne chez les Républicains progressistes/Union républicaine le [3],[4],[5]. Il appartient aux commissions relatives aux questions budgétaires et juridiques[4]. Il est réélu sénateur le et le [4], après avoir quitté sa fonction de maire de Périgueux le [3],[6]. Il est à l'origine de la loi de 1906 qui permet aux veuves qui se remarient de conserver l'usufruit légal des biens de leurs enfants mineurs. Après la Première Guerre mondiale, il est rapporteur budgétaire pour l'Algérie et les protectorats. Il est secrétaire du Sénat en 1912 et questeur de 1925 à 1927[réf. nécessaire][5]. Il est une nouvelle fois réélu sénateur de la Dordogne le [4]. Il décède le [4], dans sa propriété de Capet[7], à Saint-Hippolyte, près de Saint-Émilion (Gironde)[5]. Une rue de Périgueux porte son nom[8]. Notes et références
AnnexesBibliographie: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
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