Il utilisa également les pseudonymes P. de Trailles, Georges Fontenay, Mary Mercier et Aimé Kienné[4] ainsi que ceux de Le Clerc de la Lune et de Un vieil abonné[5].
Mort subitement d'une attaque d'apoplexie à l'âge de 71 ans[6], il est inhumé au cimetière de Malakoff[7]. Paul Mahalin était le père de la comédienne Aimée de Braine[8].
1893 : Valmy, drame historique en 5 actes et 11 tableaux, musique d'Henri Senée[9], au théâtre de l'Ambigu ()
1894 : Vidocq, ou la Belle Limonadière, drame en 5 actes et 8 tableaux, d'après le roman de l'auteur, avec Louis Péricaud, au théâtre de l'Ambigu ()
1897 : La Reine des gueux, drame en 5 actes et 11 tableaux, d'après le roman de l'auteur, au théâtre de Belleville ()
Romans
1862 : Ces petites dames du théâtre
1862 : Les Galants de la Couronne, E. Dentu
1864 : Les Mémoires du bal Mabille
1868 : Le Bougeoir, lanterne des dames
1868 : Les Jolies Actrices de Paris, E. et F. Pache et M. Deffaux. Réédition, Tresse, 1878, 1884
1869 : Au bal masqué
1871 : Les Francs-tireurs, récit patriotique
1877 : Montretout. , G. Decaux
1880 : Les Monstres de Paris, E. Dentu
1882 : Caprice de princesse, Tresse
1883 : Au bout de la lorgnette, Tresse
1884 : Le Fils de Porthos, L. Boulanger
1884 : La Reine des gueux, roman d'aventures, Tresse
1885 : Les Allemands chez nous, L. Boulanger
1885 : Le Duc rouge, roman d'aventures
1885 : La Filleule de Lagardère, 2 vol, Tresse et Stock
1885 : L'Hôtellerie sanglante, Tresse
1885 : Les Patriotes, avec un autographe de Paul Déroulède et un portrait en frontispice signé Émile Mas, Frinzine, Klein et Cie
1886 : Mmes de Cœur-Volant, E. Dentu
1890 : D'Artagnan, grand roman historique remplissant la période de la vie du célèbre mousquetaire qui s'étend de La Jeunesse des mousquetaires à Vingt ans après, les deux romans d'Alexandre Dumas
1893 : Le Roi de la Ligue, C. Lévy
1894 : Les Barricades, C. Lévy
1894 : Le Dernier Valois, C. Lévy
1896 : Les Aventuriers de Paris. Les jeux de la police et du hasard, Libraire illustrée
↑Douglas Munro, Alexandre Dumas père: a secondary bibliography of French and English, 1985, p. 139
↑Bertrand Tillier, André Gill : Correspondance et mémoires d'un caricaturiste: 1840-1885, 2006, p. 162
↑Article Blondet (Émile).Dictionnaire des pseudonymes par Georges d'Heilly, 1887, p. 47, lire en ligne sur Gallica. Kienné était le nom de famille de sa mère.
↑Patrick Ramseyer, « Le Coin des pseudonymes et autres compléments biographiques », Le Rocambole, nos 91-92, été-automne 2020, p. 335 (ISSN1253-5885)