Détenteur d'une licence ès lettres, Paul André devient en 1880 substitut du procureur de la République, avant d'obtenir un poste de procureur en 1883 à Châteaulin. Procureur général en 1907 à Angers, il est nommé en 1911 président de chambre à la cour d’appel de Paris, directeur des affaires criminelles et des grâces en 1912 et enfin premier président à la Cour d’appel de Paris en 1917[5].
Paul André et Fernand Marin, La loi sur l'organisation municipale du 5 avril 1884, commentaire et jurisprudence, préface de Henri de Brancion, Paris, P. Dupont, 1884, 364 p.[7]
Paul André, Criminalité et civilisation, discours prononcé par M. Paul André en la cour d'appel de Rouen lors de l'audience solennelle de rentrée du 16 octobre 1896, Rouen, imprimerie de J. Lecerf, 1896[8].
Henri Truchy, « Allocution prononcée par M. Henri Truchy, président de l'Académie, à l'occasion des décès de MM. Paul André et Charles Benoist, membres de l'Académie », in Revue des sciences morales et politiques, septembre-octobre 1936.
Georges Ripert, « Notice sur la vie et les travaux de M. Paul André », in Publications de l’Institut de France, 1938, n° 19, 36 p.