Omar Berrada est élève au lycée Louis-le-Grand à Paris. Il commence ses études supérieures de polytechnicien littéraire à l'X, puis poursuit avec un DEA la faculté de Paris-VII. Il part à New York étudier à Columbia où il découvre la littérature contemporaine[2].
Il est membre et éditeur de l'association Double Change, un projet évolutif faisant la promotion de la poésie américaine et française.
Il est le responsable bibliothèque et du pôle de traduction littéraire de la bibliothèque et résidence d'artistes Dar al-Ma'mûn à Marrakech[4].
Il est commissaire d'exposition du Salon international du livre de Tanger en 2008, du programme littéraire de la Biennale de Marrakech en 2012 et commissaire invitée du prix d'art du groupe Abraaj(en) en 2017. Également en 2017, il est le corédacteur en chef du journal web tamawuj.org de la Biennale de Sharjah.
Il organise les éditions 2018 du Forum 1-54, un forum dédicacé à l'Art Contemporain Africain, à New York et Marrakech[5].
En 2020, il vit à New York et il enseigne à la Cooper Union[6] où Il organise des conférences publiques en duo avec Leslie Hewitt[7].
Il développe un travail critique et d’analyse sur le travail d’Ahmed Bouanani. Il présente deux expositions axées sur le travail et les archives de l’écrivain et cinéaste. En 2013, Il publie une réédition en français et en arabe de son livre L’Hôpital chez DK éditions.
Sens de Walden (1972), Stanley Cavell, traduit de l'anglais au français, Théâtre Typographique, 2007, 128 p. (ISBN978-2-909657-35-6)[15] Co-traduit par Bernard Rival.
Parties du corps : poèmes 1960-2010 (2009), Bill Berkson, traduit de l'anglais au français, Joca seria, 2011, 157 p. (ISBN978-2-84809-160-0)[16] Co-traduit par Olivier Brossard et Vincent Broqua.
Le retrait de la tradition suite au désastre démesuré (2009), Jalal Toufic, traduit de l'anglais en français, Les prairies ordinaires, 2011, 112 p. (ISBN9782350960449)[17]