Après Cavafis (3 poèmes grecs)[8], Lampe-Tempête n°4 (2007)
Effeauillage[9], créé dans le cadre d'une performance effectuée avec le plasticien Michel Vogel et le musicien improvisateur Pascal Battus à l'occasion du festival ça vaut jamais le réel organisé par le collectif In-Ouïr aux Instants Chavirés, Montreuil (2008)
Exploration Cladonia de Sofi Hémon[13], avec Sofi Hémon, Erika Zingano, Patrick Chouissa, Loligo (2015)
Noli me tangere[14], pour accompagner 3 films d'André Avril et Emmanuelle Bouyer (2015)[15]
Scott[16], créé dans le cadre d'une performance avec les plasticiens Sofi Hémon et Inna Maaimura et le poète Patrick Chouissa, Anis Gras, Arcueil (2017)
Nouvelle vie[17], pour accompagner l'exposition d'André Avril à Morangis (2020)
↑Jean Ristat - Qui sont nos contemporains, Paris, Gallimard. 2017
↑Le sujet est assez vaste, son traitement est assez étonnant, nous sommes assez narcissiques pour qu’en dehors du plaisir (littéraire, poétique, farceur ?), nous y trouvions presque tous un doigt pointé vers notre cible. Michèle Bernstein Libération, 21 mai 1992
↑L’histoire de Quanda et Quando, fureurs, dévore-vie, innocence et tue-temps. Belle histoire. Il faut que [le lecteur] s’habitue à l’alternance de phrases d’un beau classicisme et de brisures syntaxiques et typographiques. Le Monde 30 juin 1995
↑C’est est une archéologie du mal, une archéologie de la méchanceté comme l’aurait racontée Antonin Artaud ou Bataille et comme l’aurait représentée George Grosz ou Rebeyrolle. Ou peut-être plus féroce encore. Plus stridente. Plus incandescente. Nancy Dolhem, Les viscères de Mallarmé, Le Monde Diplomatique, janvier 2002
↑L’humour est présent à chaque détour de la phrase et, comme il va de soi dans le merveilleux, fait bon ménage avec la cruauté et la violence. Notre écrivain est un grand fabulateur et sait jouer avec le mât auquel Ulysse est attaché. (…) Laissez-vous entraîner par l’écriture somptueuse, admirablement scandée de Nicolas Vatimbella. Sa langue est l’une des plus belles, des plus drôles, des plus savantes que j’ai lues depuis longtemps. Jean Ristat - Qui sont nos contemporains, Paris, Gallimard. 2017
↑De ces histoires (que nous pouvons qualifier d'extraordinaires), nous gardons l'impression d'une manière de conter qui remet en jeu, dans l’indifférence du genre, le récit. Olivier Gallon, Postface à Agnès.
↑L’auteur prête une vie tout à fait inattendue aux choses les plus ordinaires et nous conduit dans un univers plein de poésie et de fantaisie. Profession Parents octobre 1994
↑"Mon vieux Bob Dylan" de Nicolas Vatimbella. En voilà qui connaît son sujet sur le bout de ses cordes ! Pierre Assouline, LA RÉPUBLIQUE DES LIVRES (passouline.blog.lemonde.fr), Octobre 2005