Son temple, situé rue Voltaire, est détruit lors de la Seconde Guerre mondiale par les bombardements qui touchent la ville. Il est reconstruit au même endroit, et inauguré le [1].
Une partie de ses frères étant historiquement militaires, un accord est passé avec des loges d'autres ports militaires français (« La réunion » à Toulon, « Les amis de Sully » à Brest, « La solidarité Jean-Goubert » à Cherbourg, et « L'accord parfait » à Rochefort) pour que tout membre de l'une d'elles puisse être affilié à toute autre en fonction de ses affectations professionnelles[2].
L' Orient de Lorient : historique de la franc-maçonnerie à Lorient... : Grand Orient de France, Loge Nature et philanthropie, Lorient, Loge Nature et Philanthropie, (OCLC461920943, SUDOC002444526)
↑« RATIER Simon François Marie Gustave », dans Éric Anceau, Vincent Wright, Les préfets de Gambetta, Paris, Presses Paris Sorbonne, (ISBN9782840505044, lire en ligne)
↑Yvette Harrouët, « ECOLES DE LORIENT, Ecoles de Merville », Bulletin de la Société d'Archéologie et d'Histoire du Pays de Lorient, no 37, 2008-2009 (lire en ligne, consulté le )
↑Patrick Bollet, Lorient, ses hommes illustres (œuvre littéraire), Liv'Éditions, , p. 134.
Annexes
Bibliographie
Yannic Rome, 1744-2006 la franc-maçonnerie en Morbihan, Le Faouët, Liv'editions, coll. « Memoire Du Morbihan », , 251 p. (ISBN978-2-84497-093-0, lire en ligne)