Myloplus asterias

Myloplus asterias

Myloplus asterias.

Classification

Règne	Animalia
Embranchement	Chordata
Sous-embr.	Vertebrata
Super-classe	Osteichthyes
Classe	Actinopterygii
Sous-classe	Neopterygii
Infra-classe	Teleostei
Super-ordre	Ostariophysi
Ordre	Characiformes
Famille	Serrasalmidae
Genre	Myloplus

Espèce

Myloplus asterias
(Müller & Troschel, 1844)[1]

Synonymes

• Myletes asterias Müller & Troschel, 1844[1]
• Myletes ellipticus Günther, 1864[1]
• Myleus asterias (Müller & Troschel, 1844)[1]
• Myleus ellipticus (Günther, 1864)[1]
• Myleus gurupyensis Steindachner, 1911[1]
• Myleus schultzi (Ahl, 1938)[2]
• Myloplus asterias (Müller & Troschel, 1844)[2]
• Myloplus schulzei Ahl, 1938[1]
• Tomete maculatus Amaral Campos, 1944[1]

Myloplus asterias est une espèce de poissons d'eau douce de la famille des Serrasalmidae et originaire du bassin de l'Amazone et des rivières du Nord et de l'Est de la Guyane[3].

Systématique

L'espèce Myloplus asterias a été initialement décrite en 1844 par les zoologistes allemands Johannes Peter Müller (1801-1858) et Franz Hermann Troschel (1810-1882) sous le protonyme de Myletes asterias[1],[4].

Cette espèce, après avoir été rangée un temps sous le genre Myleus[5], est à nouveau classée dans le genre Myloplus[1] à la suite de l'étude menée en 2004 par Michel Jégu (d), Nicolas Hubert (d) et Elizabeth Belmont-Jégu (d)[6].

Description

Myloplus asterias peut mesurer jusqu'à 25 cm de longueur totale[3]. Cette espèce porte les noms vernaculaires de Pacu, Pacu branco ou Pacu galo au Brésil.

Étymologie

Son épithète spécifique, du latin asterias, « étoilé », est présumé faire référence aux taches rondes de couleur orangée présente sur son corps[7].

Publication originale

• (la) J. Müller et F. H. Troschel, « Synopsis generum et specierum familiae Characinorum », Archiv für Naturgeschichte, Berlin, Nicolaische Verlags-Buchhandlung, vol. 10, n^o 1,‎ 1844, p. 81-99 (ISSN 0365-6136, OCLC 1481989, lire en ligne).

Notes et références

1. World Register of Marine Species, consulté le 5 février 2022
2. BioLib, consulté le 5 février 2022
3. FishBase, consulté le 5 février 2022
4. Müller et Troschel 1844, p. 98
5. Qui est notamment encore mentionné par ITIS et BioLib.
6. Jégu, Hubert et Belmont-Jégu 2004, p. 123-124
7. Etyfish, consulté le 5 février 2022

Liens externes

• (en) BioLib : Myleus asterias (Müller & Troschel, 1844) (syn. de Myloplus asterias) (consulté le 5 février 2022)
• (en) Catalogue of Life : Myloplus asterias (Müller & Troschel, 1844) (consulté le 5 février 2022)
• (en + fr) FishBase : espèce Myloplus asterias (Müller & Troschel, 1844) (+ traduction) (+ noms vernaculaires 1 & 2) (consulté le 5 février 2022)
• (fr + en) ITIS : Myleus asterias (Müller & Troschel, 1844)
• (en) NCBI : Myloplus asterias (Müller & Troschel, 1844) (taxons inclus) (consulté le 5 février 2022)
• (en) WoRMS : espèce Myloplus asterias (Müller & Troschel, 1844) (consulté le 5 février 2022)

Bibliographie

• Michel Jégu, Nicolas Hubert et Elizabeth Belmont-Jégu, « Réhabilitation de Myloplus asterias (Müller & Troschel, 1844), espèce-type de Myloplus Gill, 1896 et validation du genre Myloplus Gill (Characidae : Serrasalminae) », Cybium, Muséum national d'histoire naturelle, vol. 28, n^o 2,‎ 2004, p. 119-157 (ISSN 0399-0974 et 2101-0315, DOI 10.26028/CYBIUM/2004-282-005, lire en ligne).