Sa thèse principale, soutenue à Paris en 1966, porte sur les cucurbitacées de Madagascar[1]. Sa deuxième thèse s'intitule Les Flores sèches de l'Ancien Monde[2].
Guy Deysson, « Monique Keraudren-Aymonin (1928–1981) », Bulletin de la Société botanique de France. Lettres botaniques, vol. 129, no 1, , p. 77-84 (DOI10.1080/01811797.1982.10824530)
Philippe Jaussaud et Édouard-Raoul Brygoo, Du Jardin au Muséum en 516 biographies, Paris, Publications scientifiques du Muséum national d'histoire naturelle, coll. « Archives », , 632 p. (ISBN9782856535653)