Monique Enckell se consacre au cinéma en tant que réalisatrice avec un court métrage en hommage à Jacques Tati avec Rufus et un long métrage qui obtiendra le Prix du scénario fantastique d'Avoriaz en 1981.
Elle se consacre un court moment à la télévision avant de se lancer dans la radio de 1990 à 2003 avec des pièces radiophoniques qui seront mises en onde sur France Culture entre autres par Marguerite Gateau, Claude Roland-Manuel, Michel Sidoroff, Jacques Taroni et Jean-Matthieu Zahnd et se consacre ensuite totalement au théâtre comme dramaturge. Ses textes ont été lus par Mathieu Genet et Audrey Bonnet (notamment au Théâtre des Halles au Festival d'Avignon), mis en scène par Abbes Zahmani au Festival du jeune théâtre d’Alès, Jean-Louis Jacopin à La Cartoucherie, Marc Zammit et Ophélia Teillaud, Gabriel Garran à la Cité européenne des Récollets et Julien Bal au 6b et sont édités (L'Avant-scène Théâtre, les éditions des Quatre-vents).
Elle a également écrit des pièces à destination du jeune public. Nombreuses représentations, publications L'Avant-scène Théâtre, Actes Sud-Papiers, L'École des loisirs, Lansman et éditions La Fontaine.
En 2014, Monique Enckell est invitée au colloque « Gestes et écriture dans les arts contemporains #2 » organisé par l'équipe du CIMArtS de l'université de Franche-Comté[2].
Elle a publié en parallèle plusieurs récits, notamment Quand je serai grande, je serai étrangère paru au Seuil en 2000.
Romans, récits
Quand je serai grande, je serai étrangère, Seuil, 2000[3]
À mort l’amour ![10], mise en scène Ophélia Teillaud et Marc Zammit, Scène Nationale de Cergy-Pontoise, Ris-Orangis, La Norville, 2004 ; événement transdisciplinaire « Le Grand cirque » avec la création de cinq pièces de Monique Enckell dont À mort l’amour !, mise en scène Ophélia Teillaud et Marc Zammit, château de Morsang-sur-Orge, 2005
La Main qui flambe[11], avec Mathieu Genet, Salon du théâtre et de l'édition théâtrale, 2005 ; L’Été en Automne, Vrigne, 2006[12]
Pas complètement noir, le gris, mise en espace Marc Zammit, Montréal, 2006 ; objet de l'exposition « Delirium » de Claudia Bernal, Montréal, 2007[13] ; mise en scène Julien Bal, 6b, Saint-Denis, [14]
Raconte-moi ton histoire je te raconte mon histoire, mise en voix, 2008 ; mise en voix festival Mantsina sur scène (Dieudonné Niangouna), Brazzaville, Congo, 2013
Combien faut-il de pauvres pour faire un riche ? (hommage à Léon Bloy)[15]
Humain mais pas trop
Kilométrage illimité
Métamorphose Business
Elle a sonné un soir à ma porte
Représentations théâtre jeune public
Le Grand nénuphar d'Amazonie[16], mise en scène Patricia Giros, CDN Théâtre des Jeunes Spectateurs, Montreuil, 1992
Deux jambes, deux pieds, mon œil[17], mise en scène Patricia Giros, CDN Théâtre des Jeunes Spectateurs, Montreuil, 1997 ; mise en scène Marie-Angèle Vaurs, Théâtre des Nouveautés, Tarbes, 2004, Blagnac, 2005 ; compagnie Les Petits cailloux, Seine-et-Marne, 2013[18] ; mise en scène Clotilde Baudon, Marseille, 2013[19] ; mise en scène Florence Bardel Cie Le Bathyscaphe, 2022[20].
Vive la vie en vert et bleu ![21], mise en scène Michel Boulay, Théâtre Jean Vilar, Montpellier, 2000
Il a dit, il n'a pas dit[22], mise en scène festival Bravo, Helsinki, 2012[23]
Publications
Dieu merci, on ne meurt qu'une fois, L'Avant-scène Théâtre no 934, 1993[24]
Il a dit, il n'a pas dit, mise en ondes Jacques Taroni, France Culture, 1997
Dans la gueule du loup, Hommage à Kateb Yacine[38], mise en ondes Jean-Matthieu Zahnd, diffusé par France Culture et sur de nombreuses radios francophones, 2003