« Le Mirebalais a reçu ce nom, de l'immense quantité d’animaux sauvages que les premiers Français y trouvèrent et qui leur rappelèrent le petit pays appelé Mirebalais dans le Poitou, où quelques-uns d'entre eux avaient probablement vu le jour. » [1].
La commune de Mirebalais possède un petit hôpital d'une trentaine de lits employant plus de deux cents personnes.
Un nouvel hôpital universitaire d'une capacité de plus de 300 lits devrait être inauguré fin 2012, et devenir ainsi le plus grand centre médical d'Haïti. Sa gestion devrait être confiée à un partenariat public/privé entre les organisations humanitaires étrangères et le ministère de la Santé publique[3].
Personnalités liées à la commune
Benoît Batraville (1877-1920), enseignant et résistant haïtien à l'occupation américaine, exécuté par les Marines en 1920.
Pierre Rateau, (directeur du lycée national de Mirebalais)
Claudius Chevry (1897-1979), résistant haïtien à l'occupation américaine
Félix Philippe, social-démocrate, insurgé durant la période de KAKO, l'un des grands agriculteurs. Son grand-père était Backer Philippe, affranchi et chef de la 7e compagnie de l'armée Indigène dirigeant la section Est de Mirebalais)
Général Léon Cantave (1910-1968), président d’Haïti d'avril à
↑Moreau de Saint-Méry, Description topographique, physique, civile, politique et historique de la partie française de l'isle Saint-Domingue, Philadelphie, Paris, Hambourg, 1797-1798, (réédition, 3 volumes, Paris, Société française d'histoire d'outre-mer, 1984), p.904
Moreau de Saint-Méry, Description topographique, physique, civile, politique et historique de la partie française de l'isle Saint-Domingue, Philadelphie, Paris, Hambourg, 1797-1798, (réédition, 3 volumes, Paris, Société française d'histoire d'outre-mer, 1984), p. 902–919.