Michael Gordon a grandi au sein d'une communauté originaire d'Europe centrale, installée dans la jungle du Nicaragua aux environs de Managua. Il fait ses études musicales à l'Université Yale (auprès de Martin Bresnick) et fréquente des groupes de rock underground de New York. Sa musique, rythmique et « épurée », emprunte des éléments répétitifs issus du minimalisme et de la culture populaire. Il crée le Michael Gordon Philharmonic pour pouvoir jouer ses œuvres avec lequel il réalise des tournées en Amérique et en Europe.
Michael Gordon a travaillé longtemps avec l'ensemble Icebreaker de Londres. Son Yo Shakespeare fut enregistré par Icebreaker sur son premier album Icebreaker. Michael Gordon a écrit Trance pour Icebreaker, augmenté de huit cuivres et de voix samplées. Cette pièce de 52 minutes est pour 22 musiciens. Depuis 1991, il travaille avec Elliot Caplan sur une nouvelle forme de théâtre musical nommée opéra vidéo. La création de leur pièce Van Gogh Video Opera à New York en 1991 a obtenu un grand succès[réf. nécessaire]. Leur nouvelle collaboration, Weather, fut écrite pour l'ensemble de cordes de Francfort Resonanz.
Who By Water (2004) pour grand ensemble (Alarm Will Sound) (18 min)
Light is Calling (2004) album studio (il existe une version pour fanfare)
Grey Pink Yellow (2005) pour orchestre (12 min)
Acquanetta (2005) opéra (1 h 10 min)
Shelter (avec Julia Wolfe et David Lang) (2005) oratorio avec vidéo
The Sad Park (2006) pour quatuor à cordes et voix pré-enregistré (25 min)
All Vows (2006, rev. 2014) pour violoncelle solo (15 min)
Rewriting Beethoven's Seventh Symphony (2006) pour orchestre (22 min)
Dystopia (2007) pour orchestre (29 min)
Every Stop On The F Train (2007) for treble voices (5 min)
the light of the dark (2008) pour petit ensemble (13 min)
(purgatorio) POPERA (2008) pour six guitares électriques (20 min)
Water (2008) (with David Lang and Julia Wolfe) pour chœur et ensemble (76 min)
Lightning at our feet (2008) opéra pour quatre chanteurs/performeurs jouant violon, violoncelle, piano, guitare électrique et dispositif électronique (75 min)
Timber (2009) pour six percussionnistes (60 min)
for Madeline (2009) pour petit ensemble (8 min)
He Saw a Skull (2009) pour douze voix (6 min)
Clouded Yellow (2010) pour quatuor à cordes(10 min)
Exalted (2010) pour chœur et quatuor à cordes (10 min)
Tree-oh (2011) pour trois violons (6 min)
Cold (2011) pour grand ensemble (15 min)
Gene Takes a Drink (2012) pour petit ensemble (6 min)
Rushes (2012) pour sept bassons (56 min)
Dry (2013) pour grand ensemble (18 min)
Beijing Harmony (2013) pour orchestre (12 min)
Aftermath (2014) dance piece (23 min)
Ode to La Bruja, Hanon, Czerny, Van Cliburn and little gold stars... (or, To Everyone Who Made My Life Miserable, Thank You) (2014) pour six pianos (17 min)
Hyper (2014) pour petit ensemble (12 min)
El Sol Caliente (2015) pour orchestre (20 min)
No anthem (2015) pour grand ensemble (10 min)
Cloud-River-Mountain (2015) pour orchestre de chambre (20 min)
Amplified (2015) pour quatre guitares électriques (60 min)
Great Trees of New York City (2016) pour chœur a capella
Observations on Air (2016) pour basson et orchestre (20 min)
The Unchanging Sea (2016) pour orchestre (20 min)
Material (2016) pour deux pianistes et deux percussionnistes sur un piano (25 min)
kwerk (2016) pour violon (4 min)
Natural History (2016) pour orchestre, chœur et percussion (20 min)
CORPUS (2017) pour orchestre (30 min)
Big Space (2017) pour orchestre (25 min)
Road Trip (2017) pour petit ensemble (60 min)
On Desbrosses Street (2017) pour piano (10 min)
Cake (2017) pour ensemble (5 min)
Anonymous Man (2017) pour chœur (60 min)
One Line Drawn (2018) pour orchestre (20 min)
MUTED (2018) pour violon (45 min)
House Music (2018) pour violoncelle (60 min)
"8" (2018) pour huit violoncelles (60 min)
A Western (2019) pour chœur mixte (25 min)
Travel Guide to Nicaragua (2020) pour violoncelle et chœur mixte (60 min)
Mixed Tulips (2020) pour percussion, piano et contrebasse (25 min)