Il est connu sous le nom de Marie-Joseph Le Guillou, nom qu'il a reçu lors de son entrée dans l'Ordre des Prêcheurs.
En , Marcel Le Guillou entre au lycée Henri-IV pour préparer l'École normale supérieure. Il modifie ses projets à cause de la guerre, revient vers Servel, et devient professeur au petit séminaire Saint-Joseph de Lannion, responsable d’une classe de 3e classique, surveillant aussi la scolarité en 6e de son frère cadet dans le même établissement[a 2].
En , il entre chez les dominicains à Paris, rue de la Glacière, après avoir obtenu son dernier certificat de licence, celui de grammaire et de philologie[a 3].
Jeune encore, entre vingt-trois et vingt-sept ans, il écrit ceci : « Je crois de plus en plus totalement de plus en plus absolument à l'amour. C'est la seule réalité. Et pourtant je crois aussi chaque jour davantage et chaque jour de plus en plus profondément au travail théologique. Il se fait en moi un travail immense, un travail que la lumière de Dieu approfondit sans cesse, un travail de lumière de Dieu et d'amour qui organise tout en moi en fonction de l'amour… Oui, j'ai l'impression que je commence à comprendre saint Thomas de l'intérieur, et que Dieu fait en moi le travail qu'il a fait en lui. »[2]
De 1941 à 1949, il fait ses études à la faculté de théologie du Saulchoir. Religieux dominicain, il fait sa profession temporaire le [a 4], sa profession solennelle le [a 5]. Il est ordonné sous-diacre le [a 6], puis diacre le [a 6] et prêtre le [a 7]. Il célèbre une messe solennelle dans l'Église Sainte-Marie des Batignolles, l'église de son adolescence, puis à Servel, sa paroisse natale ; le , il écrit : « Quelle joie j'ai eue à retrouver Servel et tout son petit monde, à vous retrouver tous et à me retrouver prêtre au milieu de vous ! Je n'ai qu'un désir, comme je l'ai dit au jour de ma première grand-messe : être au milieu de vous un homme qui vous aide à comprendre combien l'amour de Dieu est grand »[a 8].
La maturité (1947 - 1972)
Il passe sa licence de philosophie en 1945[a 6], et sa licence de théologie en 1949[a 6]. De 1949 à 1952, il enseigne la théologie morale à la faculté de théologie du Saulchoir[a 5]. Puis il est appelé au centre d'études Istina (mot qui signifie Vérité en russe, de la devise dominicaine Veritas) en 1952[a 6] où il travaillera avec le père Yves Congar. Simultanément il continue son enseignement à la faculté de théologie du Saulchoir de 1952 à 1967 sur la théologie orientale[a 6]. Pour mieux connaître la tradition orientale, il passe une année au Mont Athos[1].
En 1959, il obtient son doctorat en théologie[a 6] avec mention, en soutenant sa thèse : Mission et Unité. Les exigences de la communion, qui est publiée[1].
En 1963, après la mort de Jean XXIII, quand Paul VI a repris le Concile œcuménique, il est appelé à participer en tant qu'expert[a 9] à la seconde session du concile Vatican II[1].
En 1971, il participe au Synode sur le sacerdoce comme théologien officiel, il est nommé secrétaire spécial adjoint[a 9]. Il est nommé membre de la Commission sur la femme.
En 1973, il est nommé directeur de l'Institut supérieur d'études œcuméniques[a 10].
Avec les bénédictines du Sacré-Cœur de Montmartre (1972-1990)
Tout en poursuivant son enseignement à l'ISEO à l'Institut catholique de Paris et son travail au service de l'Église, le père le Guillou vient prêcher en la retraite annuelle aux bénédictines du Sacré-Cœur de Montmartre, traditionnellement prêchée par Mgr Charles : cette retraite sera publiée plus tard sous le titre : L'Église, lumière dans notre nuit[a 11]. Dès lors, il entre en communion profonde avec les valeurs de la congrégation. Il commence des cours de théologie devenus d'autant plus indispensables que la Congrégation des religieux à Rome demande aux congrégations d'étudier la structure théologique du charisme de chaque institut et d'en approfondir les différents éléments pour rédiger de nouvelles constitutions normant la vie des religieuses[a 12]. C'est ainsi que pendant trois années, les bénédictines suivent des cours ciblant l'ensemble des points à étudier. Il aide ainsi le Chapitre Général à structurer théologiquement et spirituellement les constitutions. Elles recevront une approbation ad experimentum en 1975. Rome nomme alors le père Le Guillou « théologien » au Chapitre général de la congrégation. L'approbation définitive sera donnée en la fête de la Pentecôte 1983 pendant l'année jubilaire de la rédemption[a 12].
Atteint depuis 1974 de la maladie de Parkinson, il se retire régulièrement chez les bénédictines du Sacré-Cœur de Montmartre dans leur prieuré de Béthanie à Blaru (Yvelines) avant de s'y installer définitivement en 1979. À partir de 1983, il fait fonction d'aumônier au prieuré tout en continuant à donner des cycles de conférences aux laïcs voulant acquérir une formation de la foi et un apprentissage à la prière[a 13].
Le père Le Guillou est mort le à 11h50, le même jour que le bienheureux Henri Suso[3], dominicain mort six siècles plus tôt mais aussi dernier jour de la Semaine pour l'Unité des Chrétiens. Depuis 1991, chaque année, des chrétiens se réunissent pour des pèlerinages annuels sur sa tombe, en janvier et en juillet.
Pensée et spiritualité
Marie-Joseph Le Guillou a beaucoup étudié la spiritualité orientale, il a passé pour cela une année au mont Athos. Sa vie a été consacrée au dialogue œcuménique mais aussi à la tradition chrétienne de l'Église, par exemple auprès des bénédictines du Sacré-Cœur de Montmartre. Au cœur de sa pensée, la Révélation chrétienne, et plus particulièrement la Révélation du Visage d'Amour du Christ - mis en Croix et ressuscité, Fils de Dieu. Durant le Concile Vatican II auquel il participé et dont le centre est « la communion de l'humanité avec la charité divine »[4]: « La révélation, c'est l'initiative par laquelle Dieu crée l'Église, la Bible, la tradition, les sacrements pour se communiquer lui-même »[5].
« Le Christ ne dit pas qu'il vient apporter la paix mais la division (cf. Lc 12, 49-53) : « Pensez-vous que je sois venu mettre la paix dans le monde ? Non, je vous le dis, mais plutôt la division. » La division ! Pensons-nous que le Seigneur est celui qui divise, celui qui dévoile ce qu'il y a de plus profond en chacun de nos êtres ? Le Seigneur sème la division car la parole de Dieu, donc la présence même du Christ, est tranchante. Il faut choisir pour ou contre. Il suffit de lire l'Évangile pour voir cette contestation constante du Christ. Il est traité de fou, il est traité d'imposteur parce qu'il dévoile les secrets du cœur et il dévoile ce qui va se passer.
Dès que le Christ paraît, il nous engage. Il nous engage directement, immédiatement, il nous appelle à nous définir pour ou contre lui. Il n'y a pas d'autre solution. « Pensez-vous que je sois venu mettre la paix dans le monde ? Non, je vous le dis, mais plutôt la division. » Celui qui dit cela, c'est le Christ qui nous donne la paix à condition d'entrer dans son mystère, de le suivre et de se donner comme s'est donnée la foule immense de témoins dont parle l'Épître aux Hébreux, Nous avons des témoins, c'est-à-dire des frères qui, comme le Christ le témoin fidèle, se sont engagés dans ce mystère de don au Seigneur et qui souvent l'ont payé de leur vie.
Le Seigneur nous demande aujourd'hui un engagement de tout notre être qui nous donne la vérité de l'Esprit, non pas de l'extérieur, mais de l'intérieur. L'Esprit Saint nous dit qu'il ne faut pas nous laisser accabler par le découragement, mais découvrir que notre vie est enclenchée dans le mystère du Christ. Nous avons tous à devenir des frères, une unanimité de témoins, des frères unis qui témoignent jusqu'au sang. »
— Marie-Joseph Le Guillou. La puissance de Dieu dans sa Parole, Les Plans, Parole et Silence, 2007, p. 186-187.
Citations
« Il faut le monde, mais l’amour ne se dévoile qu’avec les yeux du cœur. Comme c’est drôle ! Je comprends cette formule : le visage révèle le cœur, et dans l’amour les yeux contemplent le visage pour rencontrer le cœur ».
« - Père saint, garde en ton Nom ceux que tu m'as donnés pour qu'ils soient un comme nous.(Jn17) Que veut dire Seigneur cette expression : « un comme nous » ? Que ta présence dans les Apôtres et des Apôtres en toi soit la présence du Père. C'est le Père qui fait cette unité : c'est de cette présence-là qu'il s'agit, Seigneur, fais-nous demeurer dans cette unité de l'amour. Seigneur, accorde-nous d'avoir avec nos frères une réciprocité d'amour et de connaissance qui soit semblable à celle du Père avec toi. »
« Il n'y a qu'une réalité : Dieu est charité »[8].
Œuvres
La liste qui suit est un résumé des œuvres publiées par le père Le Guillou. Gabriel Richi Alberti a établi une liste complète et l'a commentée dans Nova et Vetera en juillet-[9].
Livres publiés de son vivant
Mission et Unité. Les exigences de la communion (thèse de doctorat), 632 pages, Éditions du Cerf, Paris, 1960
L'Esprit de l'orthodoxie grecque et russe, Fayard, Volume no 135 de Je sais - Je crois, Paris 1961 - réédition, Parole et Silence, 2006
Le Christ et l'Église. Théologie du Mystère, Le Centurion, Paris 1963, ouvrage dans lequel il a fait comprendre combien la théologie s'appuie sur l'Écriture et sur toute la Tradition, et dans lequel il fait une démonstration de l'importance des Pères, de saint Thomas, etc. - réédition, Parole et Silence, 2005, (ISBN2-84573-312-7)
Mission et Pauvreté. L'heure de la mission mondiale, Le Centurion, Paris 1964, avec la collaboration de Mgr Mercier
L'Église en marche, dans la collection du Zodiaque, en deux volumes, avec dom Guy Lafont, moine de La-Pierre-Qui-Vire, Desclée de Brouwer, Paris 1964
Réflexions sur la nature et l'unité de la théologie, in Mélanges offerts à M.D. Chenu, p. 363 et suivantes, Librairie philosophique J. Vrin, 1967, disponible sur Google Books[10]
Évangile et Révolution, avec Jean Bosc et Olivier Clément, 126 pages, Le Centurion, Paris 1968
Le Visage du Ressuscité. Grandeur prophétique, spirituelle et doctrinale, pastorale et missionnaire de Vatican II, 420 pages, Éditions ouvrières, Paris 1968 - réédition, Saint-Augustin/Médiation, 1996
Celui qui vient d'ailleurs, l'Innocent, 357 pages, Le Cerf, Paris, 1971, - réédition, Parole et Silence, 1998
Le Mystère du Père. Foi des Apôtres, gnoses actuelles, 291 pages, Fayard, Paris 1973
Les Témoins sont parmi nous. L'expérience de Dieu dans l'Esprit Saint, 252 pages, Fayard, Paris 1976 - réédition, Parole et Silence, 2004
en collaboration avec son frère Louis Le Guillou, La condamnation de Lamennais, éditions Beauchesne, 1982, (ISBN2-7010-1036-5), disponible sur Google Books[11]
En collaboration :
Dialogue œcuménique, Fleurs, Paris, 1962
le Mystère d'Unité. Tome 1 : Découverte de l'œcuménisme et tome 2 : L'Église en plénitude, Desclée de Brouwer, 269 pages, Paris, 1962
Ouvrages posthumes
Du scandale du mal à la rencontre de Dieu, 203 pages, Versailles, Saint-Paul, 1991, (ISBN2-85049-474-7)
Chrétiens dans le monde !, 167 pages, Paris, Mame, 1992
Le Témoignage de Dieu, 150 pages, Saint-Maur, Parole et Silence, 1996, (ISBN2-911940-01-6)
Entrons dans la prière du Seigneur, Saint-Maur, Parole et Silence, 1997, (ISBN2-911940-02-4)
L'Église, lumière dans notre nuit, 168 pages, Saint-Maur, Parole et Silence, 1997, (ISBN2-911940-04-0)
Homélies années C - La puissance de l'amour de Dieu dans sa Parole, Saint-Maur, Parole et Silence, 1997/2007 (ISBN978-2911940132)
Le Chemin de Croix et les sept dernières paroles du Christ, 87 pages, Saint-Maur, Parole et Silence, 1998, (ISBN2-911940-27-X)
Le Rosaire, Saint-Maur, Parole et Silence, 1998, (ISBN2-911940-40-7)
Homélies années A - L'amour du Père révélé dans sa Parole, Saint-Maur, Parole et Silence, 1998, (ISBN2-911940-41-5)
Entrons dans l'Eucharistie du Seigneur, 117 pages, Saint-Maur, Parole et Silence, 1999, (ISBN2-911940-96-2)
Entrons dans la Passion et la Gloire du Seigneur, 81 pages, Saint-Maur, Parole et Silence, 1999, (ISBN2-911940-62-8)
Homélies années B - Seigneur, rien n'est plus vrai que ta Parole, 250 pages, Saint-Maur, Parole et Silence, 1999
L'expérience de l'Esprit-Saint en Orient et en Occident, préface d'Olivier Clément, 94 pages, Saint-Maur, Parole et Silence, 2000, (ISBN2-84573-049-7)
Des êtres sont transfigurés par le Seigneur pourquoi pas nous ?, 164 pages, Saint-Maur, Parole et Silence, 2001, (ISBN2-84573-070-5)
Chrétien dans le monde, est-ce possible aujourd'hui ?, 169 pages, Saint-Maur, Parole et Silence, 2002, (ISBN2-84573-107-8)
Le Dieu de gloire parle au cœur de l'homme, 256 pages, Saint-Maur, Parole et Silence, 2003, (ISBN2-84573-157-4)
Les témoins sont parmi nous. L'expérience de Dieu dans l'Esprit Saint, 268 pages, Saint-Maur, Parole et Silence, 2004 (ISBN2-84573-230-9)
Un chemin pour la prière, Saint-Maur, Parole et Silence, 2005, (ISBN2-84573-308-9)
Le Sens de notre vie : Passion et résurrection de Jésus-Christ, 115 pages, Saint-Maur, Parole et Silence, 2007, (ISBN2-84573-543-X)
Marie, 184 pages, Saint-Maur, Parole et Silence, 2007, (ISBN2-84573-577-4)
Aimer c'est apprendre à recevoir la miséricorde de Dieu, 103 pages, Saint-Maur, Parole et Silence, 2008, (ISBN2-84573-620-7)
Quelques articles publiés dans la revue Istina
Le Père Marie-Joseph Le Guillou a publié de nombreux articles dans la revue Istina éditée par le Centre œcuménique Istina, revue intitulée anciennement Russie et Chrétienté, mot qui signifie en russe Vérité, devise des dominicains -(latin Veritas)[12].
La vocation missionnaire de l'église et la recherche de l'Unité, in Istina no 1 (1954) p. 408-440
L'Église orthodoxe et le mouvement œcuménique, Istina no 2 (1955) p. 51-77
La vocation missionnaire de l'église et la recherche de l'Unité, in Istina no 2 (1955) p. 107-121
Vues orthodoxes grecques sur le schisme et l'unité, in Istina no 2 (1955) p. 401-431
Jugements sur les Églises d'Orient au XVIIIe siècle, in Istina no 4 (1957) p. 301-320
Quelques réflexions, in Istina no 4 (1957) p. 497-504
Des controverses au dialogue œcuménique, in Istina no 5 (1958) p. 65-112
L'Église catholique et les divisions, in Istina no 5(1958) p. 161-182
Les Églises orthodoxes devant le monde moderne, in Istina no 5 (1958) p. 417-442
Pour un dialogue œcuménique spirituel, in Istina no 6 (1959) p. 7-9
Église et communion. Essai d'ecclésiologie comparée, in Istina no 6 (1959) p. 32-82
Plénitude de catholicité et œcuménisme, in Istina no 6 (1959) p. 237-256, p. 261-278
Mission et unité en perspective protestante et catholique, in Istina no 6 (1959) p. 433-458
Aux sources des mouvements spirituels de l'église orthodoxe de Grèce. La renaissance spirituelle du XVIIIe siècle, in Istina no 7 (1960) p. 95-128
Aux sources des mouvements spirituels de l'église orthodoxe de Grèce. L'Église et l'État aux XIXe et XXe siècles in, Istina no 7 (1960) p. 133-152
Aux sources des mouvements spirituels de l’Église orthodoxe de Grèce. Apóstolos Makrákis : ses intuitions apostoliques et spirituelles, in Istina no 7(1960) p. 261-278
L'assemblée œcuménique de la Jeunesse européenne à Lausanne, in Istina no 7 (1960) p. 433-458
La spiritualità dell' Oriente, in Sacra Dottrina no 6 (1961) p. 237-250
L' Église orthodoxe et son unité, in Istina no 8 (1961-1962) p. 53-66
Pour un dialogue œcuménique véritable avec l'Église orthodoxe, in Istina no 8 (1962) p. 261-262
Kiriéiévsky et Komiakov, appel à une plénitude de catholicité in Istina no 8 (1961-1962) p. 263
Neu Delhi: Mission und Einheit, in Die Katholischen Missionen -, p. 9-43
Les caractères de la mariologie orthodoxe, Marie et le mystère, in Études mariales no 19 (1962) p. 91-121
Réflexions sur l’Assemblée de New Delhi, in Istina 9 (1963) p. 331-344
Interrogations sur l'avenir de l'œcuménisme, in Istina 10 (1964) p. 7-24
Le parallélisme entre le collège apostolique et le collège épiscopal, in Istina (1964) p. 103-110
L'expérience orientale de la collégialité épiscopale et ses requêtes, in Istina no 10 (1964) p. 111-124
La mission en esprit d'œcuménisme, in Istina no 11 (1966) p. 61-76
L'unité de l’Église : Eucharistie, collégialité, primauté, in Istina no 12 (1967) p. 361-374
La critique du Filioque de L. P. Karsavine, in Istina no 17(1972) p. 292-310
Lumière et charité dans la doctrine palamite de la divinisation, in Istina no 19(1974) p. 329-338
Remarques sur la notion macarienne de "subtilité", in Istina no 19 (1974) 339-342
Principe apostolique et principe impérial. Quelques réflexions sur le sens de la primauté romaine aux premiers siècles, in Istina no 21 (1976) p. 142-153
Vivre dans la vérité, in Istina no 22(1977) p. 284-288
Article publié dans Communio : « Le caractère sacerdotal », COMMUNIO, VI, 6, no 38 - novembre-
Compléments
Bibliographie
[lire en ligne] La condamnation de Lamennais Louis Le Guillou&Marie-Joseph Le Guillou
Colloques sur la pensée du Père Le Guillou
Colloque I - Un homme pris par le mystère de Dieu'', Christoph von Schönborn, 219 pages, Paris, Mame, 1992
Colloque II - [lire en ligne] Un homme pris par le mystère de l'Église : le père Marie-Joseph Le Guillou, 226 pages, Colloque tenu au prieuré Saint-Benoît, . Éditions Saint-Augustin par Guy Bedouelle, mère Marie-Agnès, Mgr Dagens, 1995[13].
Colloque III -[ lire en ligne]Un homme émerveillé par le visage du Ressuscité : le père Marie-Joseph Le Guillou'', 420 pages, M. Cagin, E. Michelin, Mère Marie-Agnès, B.D. De La Sougeole, M. Larivé, P. Emonet, Mgr d'Ornellas, B. Brobrinskoi, MgrPatrick Chauvet, Éditions Saint-Augustin, 1996, disponible sur Google Books[14]
Colloque IV - Quand un homme témoigne de Dieu, 164 pages, Saint-Maur, Parole et Silence, 1998
Colloque V - Qu'ils soient un, l'œcuménisme dans le sillon du père Marie-Joseph Le Guillou, Saint-Maur, Parole et Silence, 2001, (ISBN2-84573-074-8)
Colloque VI - Un chercheur de Dieu : Le père Marie-Joseph Le Guillou O.P., 175 pages, Georges Cottier, Saint-Maur, Parole et Silence, 2005
Le père Le Guillou, un maître, éveilleur de la liberté, Patrick Chauvet, 2011, Parole et Silence, 150 pages, (ISBN978-2-84573-888-1) Actes du colloque " La fécondité ecclésiale du père Marie-Joseph Le Guillou" ()
Ouvrages
Flashes sur la vie du père Marie-Joseph Le Guillou, 118 pages, ouvrage collectif, Saint-Maur, Parole et Silence, 2000, (ISBN2-911940-98-9)
Articles
M. Cagin, Le père Marie-Joseph Le Guillou (1920-1990), Revue thomiste, 1998/4 Présentation des ouvrages du P. Le Guillou, o.p. - inédits ou rééditions - parus après sa mort (1990), ainsi que des colloques consacrés à sa pensée et à sa personnalité théologiques et spirituelles
H. Donneaud, Surnaturel au crible du thomisme traditionnel, Revue thomiste 2001/1-2 : Surnaturel, Une controverse au cœur du thomisme au XXe siècle Ch. 7 : Marie-Joseph Le Guillou
C.Journet, Une herméneutique de lumière : Deux livres de M. J. Le Guillou: I: L'Innocent. II: Le mystère du père: Foi des Apôtres et Gnoses actuelles, Nova et Vetera 2 (1973) 134-139
Communio XIX, 6 - no 116, novembre-, La Charité : Dossier : Marie-Joseph Le Guillou
Le mal, le chrétien et l’histoire dans la pensée du Père Le Guillou. Guy Bedouelle
Le mystère de la Croix dans la mission de l’Église''. Mgr Claude Dagens
Ouvrage collectif, Flashes sur la vie du père Marie-Joseph Le Guillou : [textes choisis de Marie-Joseph Le Guillou], Saint-Maur, Parole et silence, , 118 p. (ISBN2-911940-98-9)