Marianne Maret, née Bachmann[1] et originaire de Bagnes[2], voit le jour le à Martigny, d'un père zurichois de confession protestante, fils d'ouvrier[3], et d'une mère originaire du Val-d'Illiez[1],[4]. Elle grandit à Sion[4], dans un quartier éloigné du centre-ville[5].
Ancienne employée de commerce et arbitre de basketball[6], mère au foyer pendant dix-neuf ans, elle se consacre ensuite à une carrière de femme politique[1].
Elle est mariée depuis l'âge de 21 ans à un enseignant spécialisé, Christian Maret, et mère de quatre enfants, dont un fils handicapé adopté à Calcutta[1]. Elle habite à Troistorrents[2].
Parcours politique
Membre du Conseil communal (organe exécutif) de Troistorrents depuis 1997[7], Marianne Maret est élue présidente de Troistorrents en 2004. Elle occupe ce poste jusqu'en 2012[8]. Elle est la première femme ayant accédé à la présidence d'une commune du Val-d'Illiez[9],[10].
De 2009 à 2013, elle est présidente de la Fédération des Communes Valaisannes[16]. Nommée par le Conseil d’État valaisan, elle préside la Fondation pour le développement durable des régions de montagne depuis le [17].
↑Stéphanie Germanier, « Serge Métrailler a été plébiscité par les siens pour conserver la présidence du PDC Vr », Le Nouvelliste, (lire en ligne).
↑« Le PDC du Valais romand lance Marianne Maret pour les États », RTS, (lire en ligne)
↑Stéphanie Germanier et Sabine Papilloud, « Marianne Maret en route pour les États? «Pour défendre les femmes, j’ai l’atout d’en être une» », Le Nouvelliste, (lire en ligne).
↑Grégoire Baur, « En Valais, duel entre une femme et un féministe dans la course aux États », Le Temps, (ISSN1423-3967, lire en ligne, consulté le ).