Marchez noirMarchez noir
Marchez noir est le premier album solo d'Amazigh Kateb sorti le , date symbolique qui fait référence aux évènements ou Massacre du 17 octobre 1961[1]. Dans cet album, il reprend deux poèmes écrits par son père dans sa jeunesse, dans L'Œuvre en fragments (1986), dont Africain, chanté en français et arabe, et dit à la manières des Gnawas[2] et Bonjour[1],[3]. Il s'agit aussi pour lui, au moment de sa séparation du groupe Gnawa Diffusion, d'une œuvre autobiographique sur ses 20 ans de vie en France[4]. Il chante bonjour en français, mais avec un accent volontairement algérien, en y roulant fortement les r[5] La sortie de cet album est l'occasion pour le musicien d'entamer une tournée en France[1]. Les deux chansons de l'album Michel Choukrane et Kouma sont utilisées pour illustrer un reportage sur les Crânes algériens au Musée de l'Homme, le casse-tête de la mémoire coloniale de l'émission Comme un bruit qui court sur France Inter[6]. L'album est choisi parmi quelques références dans la sélection discographique de l'ouvrage sociologique « Rebel Music: Race, Empire, and the New Muslim Youth Culture » de Hisham Aidi[7]. Titres
AnnexesNotes et références
Articles connexesLiens externes
|
Portal di Ensiklopedia Dunia