Ancien membre de la délégation générale palestinienne auprès de l’Union européenne[3],[4], il est directeur du département des conventions internationales[5], et chargé du dossier des prisonniers palestiniens auprès du ministère palestinien des Affaires étrangères[6],[7],[8]. Il intervient notamment pour affirmer la « volonté politique à parvenir à un accord » de la part des Autorités palestiniennes, et précisant : « Il n'y aura pas d'accord s'il n'y a pas assez de pressions internationales sur le gouvernement israélien »[9]. Il réaffirme la nécessité d'une pression internationale en 2015, notamment à l'occasion d'un entretien avec un journaliste du quotidien Le Monde, à Ramallah, lorsque Benyamin Netanyahou nomme comme ambassadeur aux Nations unies un opposant à la création d’un État palestinien[10]. Il coordonne au niveau international la campagne pour obtenir la libération de Marouan Barghouti, emprisonné depuis 2002[8],[11].
Il est également chercheur pour le Réseau euro-méditerranéen des droits de l'homme (EMHRN).
Auteur d'articles, il écrit dans des revues généralistes[12] ou spécialisées[13] et il intervient fréquemment dans les médias[14].
Œuvres
Majed Bamya, Les Champs du silence, Paris, Société des écrivains associés, , 59 p. (ISBN2-7480-1668-8, BNF39240966)
Nerea Craviotto et Majed Bamya, Palestinian Women's Rights In EU-Israel And EU-Pa Relations, rapport, 2014 [lire en ligne].