Maffliers

Maffliers
Maffliers
Le manoir Notre-Dame, actuelle mairie de Maffliers.
Blason de Maffliers
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Val-d'Oise
Arrondissement Sarcelles
Intercommunalité CC Carnelle Pays-de-France
Maire
Mandat
Jean-Christophe Mazurier
2020-2026
Code postal 95560
Code commune 95353
Démographie
Gentilé Maffliérois
Population
municipale
1 806 hab. (2021 en évolution de −2,33 % par rapport à 2015)
Densité 266 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 05′ 00″ nord, 2° 19′ 00″ est
Altitude Min. 58 m
Max. 188 m
Superficie 6,79 km2
Type Ceinture urbaine
Unité urbaine Montsoult
(ville-centre)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Fosses
Législatives 2e circonscription du Val-d'Oise
Localisation
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Maffliers

Maffliers est une commune française située dans le département du Val-d'Oise en région Île-de-France.

Géographie

Description

La commune se situe à 30 km environ au nord de Paris, à l'orée de la forêt de L'Isle-Adam. Cet ancien village aristocratique possède de beaux domaines de chasse et de ravissants manoirs.

Elle fait partie du périmètre du parc naturel régional Oise-Pays de France.

Paysage de la commune : la rue de la Mairie, vers l'église.

Communes limitrophes

Hydrographie

La commune est limitée au nord par le cours du Ru de Presles et ses divers bras, ainsi que son étang. Ce cours d'eau est géré par le syndicat Intercommunal de la Vallée du Ru de Presles qui regroupe Maffliers, Mours, Nointel, Presles et Saint-Martin-du-Tertre[2].

Le ru de Presles est un affluent de l'Oise, et donc un sous-affluent de la Seine.

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 705 mm, avec 10,2 jours de précipitations en janvier et 8,3 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Bonneuil-en-France à 15 km à vol d'oiseau[5], est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 616,3 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme

Typologie

Au , Maffliers est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Montsoult[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant trois communes, dont elle est ville-centre[Note 2],[10],[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[11]. Cette aire regroupe 1 929 communes[12],[13].

Voies de communication et transports

La commune est desservie par l'ancienne route nationale 1, devenue RD 78 depuis la mise en service du tronçon de l'autoroute A16 qui traverse le village et permet d'éviter l'importante circulation de transit qui traversait le village jusqu'en novembre 2019[14].

Maffliers est desservie par la gare de Montsoult - Maffliers située à Montsoult.

Toponymie

Le lieu est mentionné dans une charte de 832 comme propriété de l'abbaye de Saint-Denis sous la forme Maflare puis attestée sous le nom Maflers en 1150, Mafflers en 1208[15].

Le second élément -fliers est sans doute le germanique *hlar > ancien français laris, larris « lande, friche », dont le h initial [χ] est passé à [f] dans certains cas en ancien français (cf. *hrôk « corbeau » > freux, flouer) et qui explique les finales -flier(s), -fler(s) (cf. Mouflers, Somme), voire -lers (cf. Meulers, Seine-Maritime), et les différents Flers du Nord de la France.

Le premier élément Ma(f)- est inexpliqué[16].

Histoire

On a trouvé sur le territoire de la commune, des silex taillés datant du Néolithique ainsi que des instruments paléolithiques et moustériens.[réf. nécessaire]

Bouchard V de Montmorency y fonde en 1163 le prieuré Grandmontain du Meynel[17] également appelé prieuré de Meynel-lez-Maffliers qui connait la décadence et est supprimé en 1770, sous Louis XV, puis, vendu et transformé.

En 1602, la terre de Maffliers devient la propriété de Jean Forget, président du parlement de Paris, et la seigneurie est érigée en baronnie. Geoffroy Macé Camus de Poncarré fut Baron de Maffliers.

Depuis les années 1960, le village devient progressivement rurbain, mais conserve des exploitations agricoles. Le village est illustré par la peintre Madeleine Luka qui y est née.

Politique et administration

Rattachements administratifs et électoraux

Rattachements administratifs

Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964[18], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département du Val-d'Oise et à son arrondissement de Sarcelles après un transfert administratif effectif au .

Elle faisait partie de 1793 à 1967 du canton d'Écouen de Seine-et-Oise. Lors de la mise en place du Val-d'Oise, la ville intègre le canton de Viarmes[19]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Maffliers fait partie du Ressort du instance de Gonesse (depuis la suppression du tribunal d'instance d'Écouen en [20]), et de celui du tribunal judiciaire ainsi que de celui du tribunal de commerce de Pontoise[21],[22].

Rattachements électoraux

Pour les élections départementales, la commune est membre depuis 2014 du canton de Fosses

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription du Val-d'Oise.

Intercommunalité

Maffliers est membre fondateur de la communauté de communes Carnelle Pays de France, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2003 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Liste des maires

Liste des maires successifs[23]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1843 1846 Charlemagne René Victor Despreaux
de Saint Sauveur
  Procureur ou avoué à Paris 1808 à 1811.
Maire de L'Haÿ-les-Roses (1816 → 1821)
Décédé en fonction
mai 1925 ? P. David    
         
mars 2001 2014[24] Philippe Kilidjian SE  
avril 2014[25],[26] En cours Jean Christophe Mazurier[27] DVD Ingénieur avant-vente dans l'aéroportuaire
Vice-présudent de la CC du pays de France (2020 → )
Réélu pour le mandat 2020-2026[28]

Politique de développement durable

Lors de la construction de l'autoroute A16, un pont de 25 m de large et 36 de long, réservé à la faune sauvage est construit au-dessus de l'autoroute afin de préserver le corridor écologique du bois du Carreau[29].

Population et société

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[31].

En 2021, la commune comptait 1 806 habitants[Note 4], en évolution de −2,33 % par rapport à 2015 (Val-d'Oise : +3,39 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
446399511507459474498532428
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
390400419417438432414382377
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
354396397452511520493508545
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
5545537909031 1681 3701 6141 6141 642
2014 2019 2021 - - - - - -
1 7251 8341 806------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Maffliers compte un monument historique sur son territoire :

  • Église Notre-Dame-des-Champs, rue Notre-Dame-des-Champs (inscrite monument historique en 1931[33]) :
    Elle remplace probablement une ancienne chapelle dédiée à Saint-Blaise. L'église paroissiale primitive était la chapelle Notre-Dame-des-Champs, qui se situait rue de Beaumont, et qui a été démolie en 1793. Seule une statue en bois de la Vierge à l'Enfant du début du XIVe siècle en subsiste. Restaurée en 1875, elle est installée dans l'église, et connue désormais comme Notre-Dame-des-Champs, ce qui explique le vocable d'usage de l'église.
    Celle-ci se compose d'un clocher de 1574 ; d'une haute nef unique bâtie dans un délai de neuf mois en 1859 ; et d'un chœur Renaissance avec deux chapelles latérales et abside pentagonale des années 1554-1556.
    Ses parties orientales sont remarquables et d'une facture élégante. Elles se caractérisent par les hautes colonnes engagées supportant la voûte de l'abside, et ses chapiteaux d'ordre dorique et corinthien, surmontés de sections d'entablement. L'extérieur est également soigné.
    L'église est restaurée entre 1980 et 1983[34],[35]. Aujourd'hui, le chœur est encombré par des étais.

On peut également signaler :

  • Château de Maffliers, allée des Marronniers :
    Ce château, qui abrite aujourd'hui un hôtel, s'élève à l'emplacement d'un ancien château fort féodal, qui est reconstruit par Claude de La Fayette en 1550, mais seule la partie sud de cet édifice subsiste.
    Une nouvelle reconstruction intervient sous le marquis de Briqueville entre 1780 et 1785. En 1813, le château devient la propriété d'Augustin de Talleyrand-Périgord, qui possède également celui de Montsoult.
    Georges Provost qui achète le domaine en 1906 ne juge pas le château digne d'intérêt, et le fait presque entièrement raser. Il fait construire à la place un pavillon de forme cubique, de modestes dimensions. La plupart des bâtiments aujourd'hui présents sur le domaine ne datent que de l'époque où le château accueillait déjà un hôtel, et ont été construits entre 1964 et 1989.
    Les anciens communs, transformés en ferme au début du XXe siècle, sont utilisés comme centre équestre.
    . Le château subit un incendie en avril 2020, qui cause d'importants dégâts[36],[37]
  • Manoir de Montbrun, rue du Richebourg : C'est une grande maison d'un étage avec une façade de cinq travées et un toit à deux croupes, datant de 1836. Le nom vient d'un ancien fief, situé près de la limite avec la commune de Montsoult[35].
  • Manoir Notre-Dame, rue du Richebourg : Son nom actuel lui vient des sœurs de Saint-Joseph-de-l'Apparition, qui achètent ce grand manoir cossu en 1952 pour y installer une maison de convalescence.
    Le manoir actuel, est édifié en 1905 pour Germain Fourcade, par l'architecte Georges Guyon qui réalise également « La Cerisaie » à Montsoult.
    Précédemment existait à cet emplacement une construction du XVIIIe siècle ayant appartenu au baron Honoré-Nicolas-Marie Duveyrier, premier président de la cour d'appel de Montpellier et mort à Maffliers en 1839. M. Fourcade opte pour un mélange entre le style régional de l'époque, qui fait surtout appel à la meulière en réunion avec la brique ou la pierre de taille, et le style néo-normand, s'exprimant par des façades en pans de bois. On les trouve sur le second étage et les pignons, les toitures, à forte pente, ont une forme complexe et sont ornées de nombreuses lucarnes.
    Une annexe construit par les religieuses en 1960 adopte également le style néo-normand, pour obtenir une parfaite harmonie avec l'édifice du début du siècle[35].
    En 2010, la municipalité en fait l'acquisition afin d'y transférer la mairie et d'ouvrir le parc à tous[38].
  • Ancien relais de poste, rue de la Ferme : Appelé également la Grande Ferme, c'est un grand complexe de bâtiments agricoles avec corps de logis, construits pour la plupart en 1815 pour Augustin de Talleyrand-Périgord, propriétaire du château de Maffliers. La ferme passe entre les mains de Georges Provost en même temps avec le château. Le colombier-porche donnant accès à la cour date de 1610[35].
  • Le Prieuré, 10 rue de la Ferme : Cette maison du XVIe siècle n'a jamais été un prieuré, mais tient son appellation du fait des visites fréquentes que reçoit sa propriétaire en 1600, Marie Mottier de La Fayette, de la part des frères Capucins : son fils François Leclerc du Tremblay est en effet entré dans cet ordre. Sous son nom en religion de père Joseph, il entre dans l'histoire pour avoir fondé l'ordre des filles du Calvaire et pour avoir servi de conseiller au cardinal de Richelieu.
    Le père Joseph fait aménager au sous-sol une petite chapelle pour recueillir la dépouille de son père, devenu calviniste et ne pouvant être enterré sur le cimetière paroissial.
    Après la Révolution française, la maison sert pendant quelque temps d'école[35].
  • Manoir de la Delphinière, rue Notre-Dame-des-Champs : Cette grande maison bourgeoise de style classique avec son toit à la Mansart a accueilli Madame de Staël pendant trois mois en 1803, connue alors surtout pour avoir écrit Delphine un an auparavant.
    Au XXe siècle, le manoir a abrité le Centre européen de recherches médicales et biologiques. Il est aujourd'hui subdivisé en appartements[35], mais conserve la grille d'entrée sur la cour et les deux pavillons de garde.
  • Croix de Maffliers, rue de Beaumont : La petite croix en bois d'une facture simple se dresse au sommet d'un fût monolithique d'une longueur remarquable[35].
  • Maffliers est traversé par un sentier de randonnée (PR).

Personnalités liées à la commune

Maffliers au cinéma et à la télévision

Héraldique

Blason de Maffliers Blason
Les armes de Maffliers se blasonnent ainsi :"D'azur au chevron d'or accompagné de trois coquilles du même."
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi

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Bibliographie

  • Collectif d’historiens, Le Patrimoine des Communes du Val-d'Oise - tome 2, Paris, Éditions Flohic, , 1054 p. (ISBN 2-84234-056-6), « Maffliers », p. 946–954
  • Éliane Beau et Jean-Pierre Beau, Histoire de Montsoult et de Maffliers : Seigneurs et barons de Maffliers - Montsoult - Béthemont ; notes historiques sur les pays voisins : Villaines et Nerville, Saint-Ouen-l'Aumône, éd. du Valhermeil, , 415 p. (ISBN 2-905684-66-6), p. 15-209

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Notes

  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l’agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Montsoult comprend trois villes-centres (Baillet-en-France, Maffliers et Montsoult).
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

  1. « Communes limitrophes de Maffliers » sur Géoportail..
  2. « Environnement », Mairie de Maffliers (consulté le ).
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Maffliers et Bonneuil-en-France », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Le Bourget » (commune de Bonneuil-en-France) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Le Bourget » (commune de Bonneuil-en-France) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  10. « Unité urbaine 2020 de Montsoult », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Maffliers ».
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. Fabrice Cahen, « Ouverture du prolongement de l'A 16 de L'Isle-Adam à la Croix-Verte : La nouvelle section de l'autoroute A16 sera mise en service vendredi 15 novembre, de L'Isle Adam jusqu'à la Francilienne », La Gazette du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  15. Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
  16. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Librairie Guénégaud, Paris, 1989 (ISBN 2-85023-076-6). p. 422.
  17. Jean-Pierre Auger, « Le prieuré Grandmontain du Meynel », sur iasef.fr, Initiatives et Actions pour la Sauvegarde de l’Environnement et des Forêts (IASEF), (consulté le ), p. 5.
  18. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
  19. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  20. Décret du 15 février 2008 publié au Journal Officiel du 17 février 2008
  21. Site du Conseil général - Administration du Val-d'Oise
  22. Ministère de la justice - Conseil Départemental de l'Accès au Droit du Val-d'Oise
  23. « Les maires de Maffliers », sur francegenweb.org (consulté le ).
  24. « L’UMP change de tête à Maffliers », Le Parisien, édition du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne) « L'actuel premier adjoint du maire Philippe Kilidjian qui ne se représentera pas part donc en campagne ».
  25. Jérôme Cavaretta, « Jean-Christophe Mazurier en tête », La Gazette du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne).
  26. « Les maires du Val-d'Oise » [PDF], Les élus du Val-d'Oise, Préfecture du Val-d'Oise, (consulté le ).
  27. « L'équipe », sur sites.google.com, (consulté le ).
  28. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  29. Thibault Chaffotte, « Maffliers : une autoroute pour animaux au-dessus de la future A16 : Un pont va être créé au-dessus de l’actuelle RN1, bientôt mise aux normes autoroutières », Le Parisien, édition du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « C'est un bois de forme allongé, avec ce corridor il y a une continuité de la forêt entre la banlieue parisienne jusqu'au milieu de l'Aisne », souligne Vincent Vignon, directeur associé du cabinet Office de génie écologique. Les études ont permis d'identifier la présence de près de 140 espèces de vertébrés. Certaines, comme la martre ou l'hermine, sont en train de revenir sur ce territoire dont elles avaient disparu ».
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. Notice no PA00080111, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  34. Dominique Foussard, « Maffliers - Notre-Dame des Champs », Églises du Val-d’Oise : Pays de France, vallée de Montmorency, Gonesse, Société d’histoire et d’archéologie de Gonesse et du Pays de France,‎ , p. 174-175 (ISBN 9782953155402).
  35. a b c d e f et g Pierre Autin, Daniel Baduel, Yves Breton et M. Johnson, « Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Maffliers », Collection Le Patrimoine des Communes de France, Paris, Flohic Éditions, vol. II,‎ , p. 946-95 (ISBN 2-84234-056-6).
  36. « Un violent incendie ravage la toiture et les combles du château de Maffliers : Mercredi 15 avril 2020, 140 pompiers sont intervenus après qu’un incendie a éclaté au deuxième étage du Novotel château de Maffliers (Val-d’Oise) », La Gazette du Val-d'Oise,‎ thomas hoffmann (lire en ligne, consulté le ).
  37. Frédéric Naizot, « Après l’incendie, «nous reconstruirons le château» de Maffliers : Le groupe hôtelier propriétaire du château dévasté par un incendie dans la nuit de mardi à mercredi assure qu’il le reconstruira si la structure du bâtiment le perme », Le Parisien, édition du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Le château de Maffliers, qui n'est pas classé au titre des monuments historiques, a fait l'objet de nombreuses reconstructions et démolition au cours de son histoire. La dernière en date datant de 1906, quand une partie importante fut rasée et le hall d'entrée avec terrasse fut ajouté. Les premières traces historiques d'un château féodal sur le site remonteraient au XIIIe siècle ».
  38. « Les secrets du manoir Notre-Dame : Philippe Kilidjian, le maire de Maffliers, vous invite à la découverte des secrets du manoir Notre-Dame, qui accueille la mairie, rue de Richebourg », La Gazette du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  39. Fabrice Cahen, « Quand Michel Legrand s'isolait dans son manoir de Maffliers : Le musicien compositeur de musique de films, décédé le 26 janvier, à 86 ans, à son domicile parisien, a passé une partie de sa vie dans son manoir de Maffliers (Val-d'Oise) », La Gazette du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Dans les années 70, il avait fait l’acquisition du manoir de Montbrun, à Maffliers, où il aimait se retirer pour composer, lorsqu’il n’était pas à l’étranger, notamment en Suisse ».