mise au point de l’écriture minuscule « caroline » à Corbie à partir d’une minuscule anglo-saxonne[7]. Grâce à cette calligraphie plus claire et plus nette, de nombreux manuscrits sont recopiés.
Vers 750 : le recueil de contes indiens le Pañchatantra est traduit en arabe par le persan Ibn al-Muqaffa sous le titre Le Livre de Kalîla et Dimna[13].
751 : le Kaifūsō, anthologie de 120 poèmes en chinois écrits par 64 poètes japonais, est achevé[14].
790 : constitution du premier recueil des plus anciennes poésies japonaises : le Man'yōshū[18]. Il se compose de plus de 4 500 morceaux qui reflètent les états d’âme des Japonais de toutes les couches sociales. Il est fortement influencé par la littérature chinoise et coréenne.
↑Alain Derville, Quarante générations de Français face au sacré : Essai d’histoire religieuse de la France (500-1500), Presses Universitaires du Septentrion, (ISBN9782757422663, présentation en ligne)
↑Hervé Martin et Bernard Merdrignac, Culture et société dans l'Occident médiévalCollection Synthèse s histoire, ISSN 1140-1192, Éditions Ophrys, (ISBN978-2-7080-0906-6, présentation en ligne)
↑Stéphane Lebecq, Marchands et navigateurs frisons du haut Moyen Âge : Corpus des sources écrites, Presses universitaires du Septentrion, (ISBN9782859391980, présentation en ligne)
↑Jacqueline Hoareau-Dodinau, Guillaume Métairie,Pascal Texier, Procéder : pas d'action, pas de droit ou pas de droit, pas d'action, Presses Univ. Limoges, (ISBN9782842874094, présentation en ligne)
↑Régine le Jan, La royauté et les élites dans l’Europe carolingienne (du début du IXe aux environs de 920, Publications de l’Institut de recherches historiques du Septentrion, (ISBN9782905637994, présentation en ligne)