Cette région ne correspond pas du tout aux entités politiques de l'époque des templiers (XIIe et XIIIe siècles). Il faut faire la distinction entre les commanderies qui faisaient partie de la province d'Aquitaine et celles de Provence et parties des Espagnes. Cette période étant le théâtre de nombreux conflits opposant le duché d'Aquitaine, le comté de Toulouse et les comtes de barcelone. Le comté de Toulouse finira par être annexé par le royaume de France en 1271[1].
Voici une liste non exhaustive de ce à quoi correspondait les départements actuels au milieu de cette période (vers 1180):
[18] 1285 : « Ato de Salvanhac comandaire de las maios del Temple de la Selva e de Lautrec » Ne pas confondre avec la commanderie de l'ordre hospitalier de Saint-Antoine au sud-est près de Cabrilles[N 1]
Commanderie de La Clau, actuellement commune de Vézins-de-Lévézou, annexée à la Commanderie de Canabières à la dévolution à l'Ordre des Hospitaliers, actuellement commune de Salles-Curan
Des biens (maisons du Temple) entre la rivière du Tarn et la rivière Dadou (au sud) dépendants du commandeur de La Selve et du Cambon-du-Temple (Le Fraysse)[9],[62]
Château de Graulhet (el castel de Granoillet, 1211)[63]
L'église Saint-Sauveur de Lautrec dépendante de la maison du Temple de Lautrec[67]
La chapelle Sainte-Madeleine des Albis, commune de Penne. Prieuré qui dépendait de Vaour avec les moulins d'Auriol, actuel lieu-dit La Madeleine sur la rive droite de l'Aveyron[68],[69],[N 15].
L'église de Trévan (la gleia de Trevan et la honor que si aparte, 1174), donation de l'abbé d'Aurillac (Tréban ou Trévien?)[N 16]
Département de Tarn-et-Garonne
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La province de « Provence et parties des Espagnes » était subdivisée en baillies, entités administratives et territoriales plus restreintes qui s'apparentaient initialement aux différents diocèses où se trouvaient les commanderies, dont celui de Toulouse. Des commandeurs templiers de cette baillie sont attestés jusqu'en 1250 d'après Antoine du Bourg[74], 1251 selon Émile-Guillaume Léonard.
Cette liste est établie à partir des informations recueillies par Monsieur Léonard[75], les dates entre parenthèses étant celles indiquées par Monsieur du Bourg.
(la):Bertrandus de Roca, de Rupe Commandeur templier de la baillie de Toulouse: « Bertrando de Roca, præceptore Templi de bajulia de Tholosano »[84] 29 nov. 1218 : « Bertrando de Rupe magistro domus milicie Templi et fratri Gregori preceptori ejusdem domus », Toulouse[85]
(la):Martinus de Nessa, de Nissa Martín de Añesa, originaire d'Aragon (Cinco Villas[89], près Ejea de los Caballeros[90]), maître de Toulouse (de la baillie). Figure dans des chartes où l'on trouve également un commandeur de Toulouse[91]. Commandeur d'Argentens (1203, 1226, 1228, 1230)[79] et du Mas Deu (1240-1241)[92]
(la): Martinus de Nessa 1232/33: « Martino de Nessa magistro domus milicie Templi et fratri Gregorio preceptori ejusdem domus »[94] nov. 1236 : « Insuper dominus Martinus de Nessa magister domus milicie templi et frater Gregorius preceptor domus Tolosane et frater Arnaldus de Mazeraguello capellanus »[95]
(la): Rigaldus de Rupibus : « domino Rigaldo de Rupibus magistro domus Milicie Templi Tolose et fratri Gregorio preceptori ejusdem domus »[96] [Peut-être le même que Giraldus de Rupibus en 1232]
En dehors de ces maîtres de baillie, on peut encore citer l'un des commandeurs de Toulouse, Guilhem de Saint-Jean (c. 1260/80) qui fut chapelain du maître de la province de Provence (Roncelin de Fos) en 1273-1275 et qui est devenu ensuite archevêque de Nazareth (1288-1290)[97].
Simon Jean, Templiers des pays d'Oc et du Roussillon, Éditions Loubatières, , 413 p. (ISBN978-2-86266-404-0)
Jacques Juillet, Templiers et hospitaliers en Quercy : commanderies et prieurés sur le chemin de Notre-Dame de Rocamadour, Le Mercure Dauphinois, , 3e éd., 332 p. (ISBN978-2-35662-213-6, présentation en ligne)
Alain Lameyre, Guide de la France templière, Éditions Tchou, , 413 p.
Hippolyte de Barreau, Ordres équestres : Documents sur les Ordres du Temple et de Saint-Jean de Jerusalem en Rouergue, , 591 p. (lire en ligne) sur Gallica
Pierre Vidal, Hospitaliers et Templiers en France méridionale : Le Grand Prieuré de Toulouse de l’Ordre de Malte – Guide de recherche historique, archivistique et patrimoniale, Toulouse, Les Amis des Archives de la Haute-Garonne / CNRS Éditeurs, 2002.
Antoine du Bourg, Ordre de Malte : Histoire du grand prieuré de Toulouse et des diverses possessions de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem dans le sud-ouest de la France..., Toulouse, L. Sistac et J. Boubée, (présentation en ligne), lire en ligne sur Gallica
Yoan Mattalia, « Les tours des maisons templières des diocèses de Cahors, de Rodez et d’Albi (XIIe et XIIIe siècles) », Atas do Encontro Internacional, «Castelos das Ordens Militares», Lisbonne, Direção-Geral do Património Cultural, (lire en ligne)
Adrien Lavergne, « Notes sur les ordres religieux et militaires de la Gascogne », Revue de Gascogne, Auch, t. XIX, , p. 197-202, lire en ligne sur Gallica
Charles Portal et Edmond Cabié, Cartulaire des Templiers de Vaour (Tarn), , lire en ligne sur Gallica
Pierre Vidal, « Hospitaliers et templiers en Muretain, des premiers établissements (début XIIe s.) aux premières bastides (milieu XIIIe s.): réseaux de pouvoirs et organisation de l'espace », dans Le Temps de la bataille de Muret, 12 septembre 1213 : Actes du 61e Congrès de la Fédération historique de Midi-Pyrénées, Muret, 13-14 septembre 2013, Saint-Gaudens, Fédération historique de Midi-Pyrénées / Société du patrimoine du Muretain / Société des études du Comminges, , p. 295-318.
Jacques Bousquet, « Hospitaliers et Templiers », dans Le Rouergue au premier Moyen Âge (vers 800 - vers 1250) : les pouvoirs, leurs rapports et leurs domaines, vol. 2, Société des lettres des sciences et des arts de l'Aveyron, , 896 p. (présentation en ligne), p. 749-...
↑D'après la donation, ce château se trouvait entre l'enceinte médiévale de la ville de l'Isle-Jourdain et l'église collégiale Saint-Martin (Bourg 1883, p. 242).
↑Ne pas confondre avec la commanderie de la cavalerie. Il s'agit d'une maison proche de la place Olivier, anciennement dite place du Chairedon, quartier Saint-Cyprien à Toulouse sur l'autre rive de la Garonne.
↑La "commanderie" de la Pomarède se trouvait sur la commune de Peyrilles et non à Pomarède. Jacques Juillet la nomme Saint-Thomas de Pomarède à Peyrilles mais ni la carte de Cassini, ni celle de l'état-Major n'indiquent un lieu-dit la Pomarède dans ce secteur. L'auteur propose la chapelle en ruine dite de Saint-Thomas des Lauzettes (1764), à savoir près du lieu-dit Les Landes à l'ouest sur la D25 44° 37′ 23″ N, 1° 22′ 54″ E. On constate qu'en 1298 le domaine de Septfons est reconnu appartenir au commandeur de La Pomarède en tant qu'annexe 44° 37′ 27″ N, 1° 27′ 27″ E. On remarque également qu'en 1480 le terroir de La Grèze, commune de Frayssinet44° 39′ 58″ N, 1° 28′ 39″ E appartenait à ce membre de la commanderie du Bastit. Sous réserve d'une source plus ancienne, c'est à Edmond Albe que l'on doit l'identification de La Pomarède comme étant située près de Peyrilles[54]. En particulier grâce à un acte du 31 août 1488 qui permet de localiser La Pomarède car il est écrit qu'elle se trouve près de Saint-Thomas (Saint-Thomas des Landes, Saint-Thomas de Las Lauzettes): Le commandeur du Bastit cédant à Jean d'Auriole, seigneur de Roussillon tout ce que la commanderie a à Peyrilles y compris la maison de La Pomarède située près de Saint-Thomas[55]. Ce qui signifie en revanche que les Hospitaliers du Bastit n'ont plus de membre dans ce secteur, hormis des droits sur les chapelles et églises et que la chapelle dite de Saint-Thomas de Las Lauzettes (des Landes) citée en 1764 n'est pas le bâtiment de La Pomarède puisqu'il a été cédé en 1488. Le frère Ainaud d'Enjalbert responsable de la Pomarède depuis 1477 l'habitait encore en 1492 toujours d'après Jacques Juillet. Saint-Thomas des Landes était une annexe de Saint-Pierre de Peyrilles en 1579[56].
↑Paroisse non identifiée mentionné par Bourg 1883, p. 547 en 1293. Peut-être Sauvegarde, lieu-dit de la commune de Calès au nord-ouest du Bastit 44° 47′ 36″ N, 1° 31′ 57″ E ou alors Sauvegarde, lieu-dit de la commune de Béduer44° 33′ 44″ N, 1° 57′ 00″ E mais cette paroisse paraît un peu éloignée et aurait dû dépendre de la maison du Temple de Figeac. Même problématique concernant Sauvegarde sur la commune de Gréalou encore plus éloignée.
↑Source indirecte. Le fait qu'en 1760, ce membre de la commanderie hospitalière du Bastit du Causse soit désigné sous le nom de « Temple de Martel »[60] suppose une origine templière. Opinion partagée par Jacques Juillet qui situe cet hospice à l'est dans le quartier du cap de Ville (proche de la maison de retraite). Cependant les Hospitaliers sont déjà présents à cette époque avec le prieuré féminin de la Vere-Croix-de-Martel au sud (chemin de la Condamine). La présence sur la carte de Cassini du Lieu-dit « La Chapelle Saint-Jean », proche de la Croix-Rempart et de la Blanchie Haute mériterait d'être étudiée. D'autre part, Martel devait probablement dépendre d'une autre commanderie à l'époque templière car le Bastit paraît un peu trop éloigné et la rivière Dordogne sépare les deux lieux.
↑44° 04′ 32″ N, 1° 41′ 53″ E. Simon Jean ne mentionne pas ces possessions dans la châtellenie de Penne qui figurent pourtant dans le cartulaire de Vaour.
↑Ou encore d'après le bulletin philologique et historique, 1963 : « Tréban alias Trévans, paroisse de la Madeleine des Albis [Penne] mais rive droite de l'Aveyron ». Introuvable sur une carte que ce soit IGN ou Cassini.
↑Bien que le style architectural fasse penser à la Capelle-Livron, le fief d'Aujols appartenait au chapitre de la cathédrale de Cahors depuis le milieu du XIIIe siècle, inféodé aux seigneurs de Cardaillac-Bioule. À moins qu'il ait été cédé par les Templiers bien avant cette date?
↑44° 53′ 47″ N, 1° 45′ 22″ E. Aucune preuve historique de la présence des Templiers bien que l'absence de documentation sur cette période puisse étayer cette assertion et que le nom du Bastit laisse supposer un lien avec la commanderie du même nom. Cependant, le nom de Bastit signifie Bastide et on le retrouve ne serait-ce qu'en deux autres lieux dans le département du Lot qui ne sont pas connus pour avoir été des lieux templiers (Anglars, Cardaillac et Gintrac).
↑La présence des templiers à Soulomès n'est pas attestée bien qu'elle soit mentionnée par Jean Raybaud[71] alors que celle des hospitaliers est avérée depuis au moins 1258 comme membre de la maison de l'Hôpital d'Espédaillac. En 1280, l'abbaye de Marcilhac cède l'église de Soulomès aux hospitaliers et en 1296, on trouve un commandeur hospitalier d'Espédaillac et de Soulomès en la personne du chevalier Pierre de Raymond: « religiosus vir Raymundus, miles praeceptor domus Hospitalis de Espedalhaco et Solome ».
↑La présence des Hospitaliers à Aragnouet semble remonter au XIIe siècle pendant l'épiscopat de Bertrand de Comminges.
↑Hospice fondé par Raymond IV de Turenne en 1233 et que l'on retrouve comme possession de la commanderie du Bastit du Causse pendant la période Hospitalière (Juillet 2010, p. 69), aucune mention à l'époque des Templiers contrairement à ce que laisse entendre Jean-Luc Aubarbier dans La France des Templiers.
↑Astiaga, ancien nom d' «Échiia», aujourd'hui Écija.
↑M. Esquieu, « Les Templiers de Cahors », Bulletin de la Société des études littéraires, scientifiques et artistiques du Lot, vol. XXIII, , p. 146, lire en ligne sur Gallica
↑M. Esquieu, « Les Templiers de Cahors (suite et fin) », Bulletin de la Société des études littéraires, scientifiques et artistiques du Lot, vol. XXIV, , p. 5-52, lire en ligne sur Gallica
1274 : « Le commandeur de la Selve, du Cambon e les autras maios del Temple que so entre Tarn e Dado en l'eveschat d'Albi ». À savoir des maisons du Temple situées entre la rivière du Tarn et la rivière Dadou. À cette époque, Lautrec semble donc ne pas en faire partie mais en 1285/1292, on trouve Athon de Savagnac, « comandaire de las maios del Temple de la Selva e de Lautrec ». Simon Jean indique 1292 (p. 282) alors que E.G Léonard mentionne 1285.
↑Félix Pasquier, Cartulaire de Mirepoix, t. 2, (lire en ligne), p. 88-89 (doc. XXI)
5 novembre 1306 : Jean de Montréal, commandeur de Mirepoix et de Nogarède au sujet de la grange templière de Comegoude (grangie seu boharie dicte domus Templi, vocate de Comagoda).
↑André Bergouniou, « Montricoux et les Templiers », Bulletin archéologique historique et artistique de la Société archéologique de Tarn-et-Garonne, t. LXVII, , p. 45-62, lire en ligne sur Gallica
↑Pascale Laviale, « Constitution du temporel de la Commanderie de Lacapelle-Livron (1218 - 1300) », dans Montauban et les anciens pays de Tarn-et-Garonne, Société archéologique de Tarn-et-Garonne, , 427 p. (présentation en ligne), p. 193-198
↑Louis Esquieu, « Notes historiques. Les Templiers de Cahors », Bulletin de la Société des études du Lot, t. 23, , p. 146-177, lire en ligne sur Gallica ; Louis Esquieu, « Notes historiques. Les Templiers de Cahors (suite) », Bulletin de la Société des études du Lot, t. 24, , p. 5-32, lire en ligne sur Gallica
↑Louis d'Alauzier, « Le repeuplement de Trébaïx au XVe siècle », Annales du Midi, t. 75, no 62, , p. 201-213} (lire en ligne)
↑Annie Charnay, « La commanderie des Templiers du Bastit de 1250 à 1315 », dans Etudes sur le Quercy et les commanderies des ordres militaires : actes du XLIIe Congrès d'études régionales organisé par la Société des études du Lot à Souillac et Martel les 19, 20 et 21 juin 1987, Fédération des Sociétés académiques et savantes de Languedoc-Pyrénées-Gascogne, (présentation en ligne), p. 138-...
↑Octave Rochebrune, Campagne archéologique de La Lyère, à la conquête d'une cheminée, Hachette (BNF), (réimpr. 2018)
Inféodation du moulin désaffecté du pont de Marquefave, en la paroisse de Sainte-Foy de Cras, faite par Frère R. del Boisso, commandeur de la maison de la Capelle, avec l'assentiment de Frère Arnal de Calmunt, commandeur de la maisn de Cras, à Beneg et W. de Vielhasvinhas, frères, et à W. de la Rogia.
1255 : donation de l'église de Cras par l'évêque de Cahors qui précise que le village est déjà une Maison du Temple : « Ecclesiam Villae de Cratz, quaequidem Villa est domus Templi ».
↑ a et bLouis d'Alauzier, « Les Templiers à Figeac », Bulletin de la société des études littéraires, scientifiques et artistiques du Lot, t. 100, no 4, , p. 317, lire en ligne sur Gallica
L'auteur rectifie son point du vue sur l'absence des templiers à Figeac publié en 1950. Après avoir été dévolue aux hospitaliers, on trouve en 1342 un commandeur de la maison de Saint-Jean de Jérusalem de Figeac puis cette dernière devient un membre de Latronquière à partir de 1371.
↑Abbé C. Nicolas, « Histoire des grands prieurs et du prieuré de Saint-Gilles faisant suite au manuscrit de Jean Raybaud 1751-1806 : tome III », Mémoires de l'Académie de Nîmes, t. XXIX, , p. 117, lire en ligne sur Gallica
Ne pas confondre avec Cambon plus à l'ouest qui est d'origine hospitalière.
↑ ab et c« Donation des lieux de (Granoillet) Graulhet, (Marlanas) Marnaves et Ambres, à l'ordre du Temple », Revue historique, scientifique et littéraire du département du Tarn, Albi, vol. VI, , p. 125-126, lire en ligne sur Gallica
d'après l'auteur, la commanderie hospitalière de Rayssac comportait de nombreuses annexes, dont la principale eut son siège à Lanel: « les Templiers possédaient, à proximité, « la ville » de Lanel et une grande « Maison » (la « Maison des Templiers ») sous l'autorité du commandeur de « Lautrec et Lanel ».
↑Dom Villevieille et Henry et Alphonse Passier, Trésor généalogique de Dom Villevieille, t. I, (lire en ligne), p. 49
1289 : Frère Bernard Ademar, commandeur templier de La Selve transige avec le chapitre d'Alby (St-Salvy) au sujet de la justice du Cambon qui est du chapitre et des terres de Lanel qui sont du Temple. Il ne s'agit pas du Cambon-du-Temple.
↑André Soutou, « Les Templiers et l'aire provençale : À propos de « La Cabane de Monzon » (Tarn-et-Garonne) », Annales du Midi : revue archéologique, historique et philologique de la France méridionale, vol. 88, , p. 95 (note 15) (lire en ligne)
↑Maurice Greslé-Bouignol, « Lautrec: l'architecture religieuse », Congrès archéologique de France - 140e session - Albigeois (1982), , p. 320 ; Elie-A. Rossignol, Monographies des communes du canton de Lautrec : arrondissement de Castres (Tarn), , p. 100-104
↑Elie-A. Rossignol, Monographies communales ou Étude statistique, historique et monumentale du département du Tarn, t. III, (lire en ligne), p. 199-201
↑Jean Raybaud, « Histoire de la province appelée de Provence qui était jadis de l'ordre du Temple », Mémoires de l'académie de Nîmes, t. XXVIII, , p. 278, lire en ligne sur Gallica
D'après l'auteur, les implantations templières dans le Quercy furent: Cahors, Durbans, Salomès (Soulomès), Montricoux, Le Bastit, La Capelle et Trevais (Trébaïx). La présence des templiers à Durbans et Soulomès reste à démontrer mais n'est pas formellement infirmée.
↑Briand de Verzé, Nouveau dictionnaire de la France et de ses colonies, (lire en ligne), p. 284
Pas de sources primaires. Peut-être une confusion avec la maison du Temple de Larmont, commune de le Castéra en Haute-Garonne ou avec la commanderie de La Claverie, près Ayguetinte.
↑Abbé Sabarthès, « La commanderie de Narbonne: Ordre de Malte », Mémoires de la Société des arts et des sciences de Carcassonne, t. VII[passage=21, 1894-1895, lire en ligne sur Gallica
L'abbé Sabarthès donne une origine templière or Auzits et Lugan sont connues comme commanderies de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem depuis la fin du XIIe siècle.
↑ abcdefghijklmnopqrstuv et wE.G Léonard, « Tableau des maisons françaises du Temple et de leurs précepteurs », dans Introduction au Cartulaire manuscrit du Temple (1150-1317), constitué par le marquis d'Albon et conservé à la Bibliothèque nationale, E. Champion, , xv-259, chap. 7
↑Jean Paul Boyer et Thierry Pécout, La Provence et Fréjus sous la première maison d'Anjou (1246-1382), Aix-en-Provence, Université de Provence, , 213 p. (ISBN978-2-85399-761-4, présentation en ligne), p. 125
↑(en) Jochen Burgtorf, The Central Convent of Hospitallers and Templars : History, Organization, and Personnel (1099/1120-1310), Leiden/Boston, Brill, , 761 p. (ISBN978-90-04-16660-8, lire en ligne), p. 672-675
↑(la) Reinhold Röhricht, Regista Regni Hierosolymitani (1097-1291) : Edidit, (lire en ligne), p. 252 (no 953)
↑(la) Régis de La haye, Les archives brûlées de Moissac : Reconstitution du chartrier de la ville de Moissac brûlé le , Maastricht/Moissac, Régis de La Haye, (1re éd. 1999), 206 p. (ISBN90-802454-6-1, lire en ligne), p. 140-141
↑Entre autres en mai 1214 : « Petro de Dieu preceptori domus milicie Templi, site apud Sanctum Egidium », cf. (fr + la) Julien Rouquette et A. Villemagne, Cartulaire de Maguelone, t. II, (lire en ligne), p. 131 (no 335).
↑(en) Clay Stalls, Possessing the Land : Aragon's Expansion Into Islam's Ebro Frontier Under Alfonso the Battler, 1104-1134, Brill, , 337 p. (ISBN978-90-04-10367-2, lire en ligne), p. 68-69, 89
↑Fév. 1229 : (de + fr) Jörg Oberste, Zwischen Heiligkeit und Häresie : Religiosität und sozialer Aufstieg in der Stadt des hohen Mittelalters, vol. 2, Cologne, Böhlau, , 347 p. (ISBN3-412-16102-0, présentation en ligne), p. 332 (no 13) ; Avr. 1233 : « De la condition des juifs du comté de Toulouse avant le XIVe siècle : Pièces justificatives », Bibliothèque de l'école des chartes, t. 39, , p. 467-469 (pièces no 28 à 30), lire en ligne sur Gallica ; Nov. 1236 : (de + la) Jürg Oberste, « Donaten zwischen Kloster und Welt. Das Donatenwesen der religiösen Ritterorden in Südfrankreich und die Entwicklung der städtischen Frömmigkeitspraxis im 13. Jahrhundert », Zeitschrift für historische Forschung, Duncker & Humbolt., vol. 29, , p. 7 (présentation en ligne)
↑(ca) Rodrigue Tréton, Diplomatari del Masdéu, vol. III, Pagès Editors, (ISBN978-84-9779-973-7, lire en ligne), p. 1123-1126, 1128-1171, 1237-1240 (chartes no 373, 375-397, 431)