Les commanderies de cette région faisaient partie de la baillie templière de Lombardie elle-même dépendante de la province d'Italie[1]. De nombreuses fois les chapitres provinciaux se tinrent dans l'ancienne région d'Émilie[2] et il semblerait que les commanderies de Bologne et de Piacenza occupaient un rôle central dans l'administration de la province[3].
(en) Elena Bellomo, « The Temple, the Hospital and the Towns of North and Central Italy. », dans éd. Damien Carraz, Les ordres militaires dans la ville médiévale(1100-1350), Clermont-Ferrand, Presses Universitaires Blaise-Pascal, , 314 p. (ISBN978-2-8451-6558-8, présentation en ligne)
(it) Bianca Capone, Loredana Imperio et Enzo Valentini, Guida all'Italia dei Templari : gli insediamenti templari in Italia, Edizioni Mediterranee, , 327 p. (ISBN978-88-272-1201-1, lire en ligne)
(it) Renzo Caravita, « Nuovi documenti sull'ordine del Tempio dall'Archivio Arcivescovile di Ravenna », dans Franco Cardini (Dir.), Sacra Militia : rivista di storia degli ordini militari, vol. 3, Name, (présentation en ligne), p. 225-278
(it) Cristina Dondi, « Missale vetus ad usum Templariorum: L'ordine dei cavalieri Templari in area Modenese nei secoli XII-XIV », Aevum, vol. 68, no 2, , p. 339-366 (lire en ligne)
Notes et références
Notes
↑L'endroit exact est ignoré mais elle se situait entre Plaisance et Parme sur une branche de la Via Aemilia à proximité de la rivière Rovacchia. Cf. Bellomo 2008, p. 331, 369
↑Il existe deux toponymes du nom de San Nicolò en Émilie-Romagne. San Nicolò di Villola(it) qui fait partie de la ville de Bologne et San Nicolò qui est partie intégrante de la commune d'Argenta. Il s'agit vraisemblablement d'Argenta puisque la commanderie de Bologne est attestée mais qu'elle n'est jamais mentionnée sous le vocable de Saint Nicolas mais dans le doute les deux toponymes sont indiqués.
↑(it) Giampiero Bagni, « I Templari bolognesi e la Magione di Santa Maria del Tempio », Atti e memorie della deputazione di Storia patria per le Provincie di Romagna, (lire en ligne)