Les lignes à l'origine en traction vapeur n'utilisent pas d'indice de ligne, les premiers indices apparaissent avec l'électrification des réseaux (chiffres ou lettres), les différents réseaux du Hainaut utilisent ainsi différentes numérotations jusqu'en où la Société nationale des chemins de fer vicinaux crée le groupe du Hainaut réunissant sous une même entité administrative les réseaux du Centre, Charleroi, Mons et le réseau de Tournai. À cette occasion les réseaux reçoivent une nouvelle numérotation : 1 à 29 pour le réseau de Mons, 30 à 40 pour le Centre et 41 à 99 pour Charleroi, le réseau de Tournai isolé de ces trois autres réseaux utilise les indices 1 à 10[1],[2].
Les lignes restées en traction autonome au cours de leur existence (vapeur puis thermique essence/diesel) n'ont à quelques exceptions jamais reçu d'indice au cours de leur exploitation. À titre indicatif on leur attribut un indice de ligne en italique reprenant les premières lettres des villes terminus de la ligne. Certaines lignes ont cependant reçu un indice de ligne bien que celui-ci était rarement indiqué sur le matériel (l'indication de la ligne se limitant le plus souvent à des plaques de destination).