En ancien francoprovençal, un abergement était un territoire donné par son suzerain à son vassal, paysan ou non, et moyennant une redevance annuelle. Ce mode de location à très long terme avait pour but de favoriser le défrichement des terres et le développement agricole.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[3]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[4].
En 2018, la commune comptait 121 habitants[Note 1], en évolution de +3,42 % par rapport à 2012 (Ain : +5,15 %, France hors Mayotte : +2,11 %).
Belles fermes bugistes imposantes, ayant un dreffia sur une façade (balcon de bois sur lequel était mis à sécher le bois de chauffage), abritant les hommes et les bêtes ainsi que les réserves pour passer les mois d'hiver.
Maisons gardant des traces de l'Histoire : frises Renaissance, croix templières, changement des pentes des toits avec l'évolution des matériaux de couverture (chaume, tavaillon, ardoises, tuiles, bac en acier.
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.