Lépinas

Lépinas
Lépinas
La mairie de Lépinas.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Creuse
Arrondissement Guéret
Intercommunalité Communauté de communes Creuse Sud-Ouest
Maire
Mandat
Régis Parayre
2020-2026
Code postal 23150
Code commune 23107
Démographie
Gentilé Espinassous
Population
municipale
126 hab. (2021 en évolution de −18,18 % par rapport à 2015)
Densité 8,5 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 04′ 33″ nord, 1° 55′ 44″ est
Altitude Min. 515 m
Max. 681 m
Superficie 14,80 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Guéret
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Ahun
Législatives Circonscription unique
Localisation
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Lépinas

Lépinas est une commune française située dans le département de la Creuse, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie

Généralités

La Gartempe au pont de la RD 3.

Dans le centre du département de la Creuse, la commune rurale de Lépinas fait partie de l'aire d'attraction de Guéret[1] et s'étend sur 14,80 km2[2]. Elle est arrosée par la Gartempe — qui prend sa source à environ un kilomètre au nord-ouest de la limite communale, à Pétillat dans la commune de Peyrabout — et par son affluent le Rieucourant, ainsi que par le Coquechy, un affluent du Taurion.

L'altitude minimale avec 515 mètres[2] se trouve localisée à l'extrême sud, là où le Coquechy se jette dans l'étang de la Chapelle, sur le territoire communal de La Chapelle-Saint-Martial. L'altitude maximale avec 681 mètres[2] est située dans le nord-ouest, dans le bois de Montbas.

Traversé par la route départementale (RD) 50, le petit bourg de Lépinas est situé, en distances orthodromiques, 12 kilomètres au sud-sud-est de Guéret et 19 kilomètres au nord-est de Bourganeuf.

La commune est également desservie par les RD 3, 17, 60 et 60A1.

Communes limitrophes

Lépinas est limitrophe de six autres communes. Au sud-est, son territoire est distant de moins de 250 mètres de celui de Saint-Georges-la-Pouge.


Climat

Historiquement, la commune est exposée à un climat montagnard[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 183 mm, avec 13,4 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Pontarion à 10,69 km à vol d'oiseau[6], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 155,8 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Milieux naturels et biodiversité

Espaces protégés

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[10].

Quatre aires protégées concernent le territoire communal[11].

Réseau Natura 2000

La Gartempe au pont de la RD 60A1.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 1].

Un site Natura 2000 a été défini sur la commune[11] : la « vallée de la Gartempe sur l'ensemble de son cours et affluents » qui, sur 3 560 hectares, concerne cinquante communes de la Creuse et de la Haute-Vienne[13].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

Dans le bois de Lavaud, chemin forestier dans la ZNIEFF « hêtraies et prairies du puy de Tarissa ».

L'inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

En 2024, trois ZNIEFF sont recensées sur la commune d’après l'INPN[11].

Le site « vallée de la Gartempe sur l'ensemble de son cours » est une ZNIEFF de type 2 qui, sur 3 978 hectares, concerne les mêmes cinquante communes de la zone Natura 2000[14].

D'après l'INPN, deux ZNIEFF de type 1 concernent également Lépinas :

  • les « hêtraies et prairies du puy de Tarissa »[15], partagée avec les communes de La Chapelle-Saint-Martial et Maisonnisses ;
  • l'« étang de La Chapelle-Saint-Martial »[16] dont les rives nord sont sur la commune de Lépinas.

Urbanisme

Typologie

Au , Lépinas est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[17]. Elle est située hors unité urbaine[18]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Guéret, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[18]. Cette aire, qui regroupe 72 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[1],[19].

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (66,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (66,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (64,5 %), zones agricoles hétérogènes (18,1 %), prairies (15,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2 %), eaux continentales[Note 3] (0,2 %)[20]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Villages, hameaux et lieux-dits

Outre le bourg de Lépinas proprement dit, le territoire communal se compose de villages ou de hameaux, ainsi que de lieux-dits[21] :

  • les Baudes
  • Bois de Lavaud
  • Bois de Montbas
  • Bois de Montégudet
  • Bois de Sous-Parsat
  • les Bruges
  • Cantegrelle
  • le Cérier
  • le Château
  • Cherlecunlong
  • Chez Pater
  • la Conche
  • le Coux
  • Drouillette
  • les Grandes Raies
  • Lavaud
  • le Masmartin
  • le Maspommier
  • Montbas
  • Montbas[Note 4]
  • Montégudet
  • Moulin de Coutant
  • Moulin de Stiergne
  • la Porte
  • les Pradelles
  • Rissat
  • la Roche Puy Charbonnier
  • Stiergne
  • la Terrade
  • le Theil.

Risques majeurs

Le territoire de la commune de Lépinas est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[22]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[23].

Risques naturels

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Lépinas.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 26,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (33,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 189 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 30 sont en aléa moyen ou fort, soit 16 %, à comparer aux 25 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[24],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[25].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[22].

Risque particulier

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Lépinas est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[26].

Transports en commun

Toponymie

En occitan, la commune porte le nom de L'Espinaç[27].

Histoire

Les Hospitaliers

Lépinas fut une paroisse des Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem dépendante de la commanderie de Maisonnisses et du grand prieuré d'Auvergne. Le commandeur de Maisonnisses y était seigneur et dîmier général avec droit de mainmorte[28].

Histoire moderne

La commune de Lépinas, appelée initialement « Lepinard », a été créée à la Révolution française[2].

Durant la Seconde Guerre mondiale, Lépinas fut un centre important de Résistance. Trois points principaux de ralliement virent le jour entre 1942 et 1944.

L'école de Lavaud, dont l'institutrice Suzanne Boiron fut très tôt acquise aux idées de la Résistance, servit de point de passage et de refuge à de nombreux proscrits de toutes obédiences. C'est ainsi que de nombreux réfractaires du Service du travail obligatoire (STO) se retrouvèrent dans cette école, avant d'être dirigés vers des caches de la région. Albert Fossey, dit « François », futur chef départemental des Forces françaises de l'intérieur (FFI) de la Creuse, fréquentait régulièrement le lieu au temps de l'organisation des maquis. Eugène France, dirigeant de la résistance communiste, y passa sa première nuit de clandestin.

Le village de Rissat abrita dès 1942 un groupe de résistance d'obédience communiste sous la responsabilité d'un ancien des Brigades internationales : Adolf Low, un juif allemand.

Le village du Coux devint le point de ralliement de nombreux réfractaires du STO. En , le commandant Fossey décida de regrouper les volontaires du secteur en ce lieu, qui devint son poste de commandement, et où s'installa son état-major. De nombreuses opérations partirent de ce lieu. Repéré, le groupe du Coux dut se replier le vers Bellesauve, dans la commune de Janaillat.

Dans ce secteur boisé, isolé — où l'on ne va guère par hasard — ces groupes très divers, malgré leurs différences, vécurent en bonne intelligence, s'entraidant, se rendant visite. À ce titre, on peut considérer ce petit morceau de Creuse comme un creuset de la Résistance départementale.

Politique et administration

Liste des maires

Plaque mortuaire de Léon Bellivier, maire de 1808 à 1829.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
1808 1829 Léon Bellivier    
         
mars 2001 mars 2014 Élisabeth Bouchy-Pommier    
mars 2014 En cours Régis Parayre SE Fonctionnaire

Équipements et services publics

Justice

En 2024, dans le domaine judiciaire, Lépinas relève[29] :

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[31].

En 2021, la commune comptait 126 habitants[Note 5], en évolution de −18,18 % par rapport à 2015 (Creuse : −3,87 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
769757808788891844915988958
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
920834874798815876810791758
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
759738682595550561577426384
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
343306269231225191179175157
2018 2021 - - - - - - -
131126-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[2] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

L'église Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Lépinas[33] dans le centre du bourg, remaniée au XIVe siècle, attire en été des artistes locaux qui exposent leurs réalisations[réf. nécessaire].

  • Le château de Lépinas.

Un tumulus est signalé sur la commune[réf. nécessaire].

Personnalités liées à la commune

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  1. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[12].
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Deux lieux-dits du même nom proches du bourg, l'un 500 mètres à l'ouest, l'autre 700 mètres au nord-ouest.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

  1. a et b « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Guéret », sur insee.fr (consulté le ).
  2. a b c d et e Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  3. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Orthodromie entre Lépinas et Pontarion », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Pontarion_sapc » (commune de Pontarion) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Pontarion_sapc » (commune de Pontarion) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le ).
  11. a b et c « Liste des espaces protégés sur la commune de Lépinas », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  12. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  13. FR7401147 - Vallée de la Gartempe sur l'ensemble de son cours et affluents, Inventaire national du patrimoine naturel, consulté le .
  14. ZNIEFF 740120050 Vallée de la Gartempe sur l'ensemble de son cours, Inventaire national du patrimoine naturel, consulté le .
  15. ZNIEFF 740120200 Hêtraies et prairies du puy de Tarissa, Inventaire national du patrimoine naturel, consulté le .
  16. ZNIEFF 740006111 Étang de La Chapelle-Saint-Martial, Inventaire national du patrimoine naturel, consulté le .
  17. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  18. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  21. « Lépinas » sur Géoportail (consulté le 15 novembre 2024).
  22. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Lépinas », sur Géorisques (consulté le ).
  23. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  24. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  25. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Lépinas », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  26. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  27. Yves Lavalade, Les Noms de lieux du pays d'Ahun (Creuse) : Ahun, Cressat, Lépinas, Maisonnisses, Mazeirat, Le Moutier-d'Ahun, Peyrabout, Pionnat, Saint-Hilaire-la-Plaine, Saint-Yrieix-les-Bois, Vigeville, Éditions de l'Esperluette, Limoges, 2017.
  28. Louis-Augustin Vayssière, « L’Ordre de Saint-Jean de Jérusalem ou de Malte en Limousin et dans l’ancien diocèse de Limoges », Bulletin de la Société des lettres, sciences et arts de la Corrèze,‎ , p. 117, lire en ligne sur Gallica.
  29. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. Église Saint-Pierre et Saint-Paul, Observatoire du patrimoine religieux, consulté le .

Voir aussi

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

  • Yves Lavalade, Les Noms de lieux du pays d'Ahun (Creuse) : Ahun, Cressat, Lépinas, Maisonnisses, Mazeirat, Le Moutier-d'Ahun, Peyrabout, Pionnat, Saint-Hilaire-la-Plaine, Saint-Yrieix-les-Bois, Vigeville, Éditions de l'Esperluette, Limoges, 2017.

Articles connexes

Liens externes