Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?
Il a été fouilleur de Hadda et, dans ses explorations, a été un pionnier vers la découverte du site archéologique afghan d'Aï Khanoum.
Travaux
Les inscriptions hiéroglyphiques et hiératiques du Ouâdi Hammâmât avec P. Montet, Le Caire, 1912
Chronologie et description des roches ignées du désert arabique, Le Caire, 1922
Description d'une forteresse de Saladin découverte au Sinaï : les inscriptions de la Qalʻah Guindi avec G. Wiet, Paris, 1922
Notes de métallogénie marocaine, Tours, 1923
Description de quelques minéraux marocains, Paris, 1924
Les fouilles de Haḍḍa I, Stupas et sites. Texte et dessins, Paris, 1933
Les fouilles de Haḍḍa, Paris, 1933
Les fouilles de Hadda III, figures et figurines, Tours, 1930
Carte géologique provisoire des Djebilet, s.l., s.d.
Tête gréco-bouddhique trouvée par la mission Jules Barthoux sur le site de Hadda en 1928 (Musée Guimet)
Détail d'un escalier du monastère de Chakhil-i-Ghoundi (Hadda), mission Barthoux
Bibliographie
Zemaryallaï Tarzi, « Jules Barthoux: le découvreur oublié d'Aï Khanoum », Comptes-rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, Année 1996, Volume 140, Numéro 2, p. 595-611 (lire en ligne)
↑Archives départementales de l'Allier, état-civil numérisé de la commune d'Étroussat, naissances 1861-1892, acte no 15 de l'année 1881 et sa mention marginale de décès, vue 111 de la numérisation. Son père Anne Couyat était maréchal. Une mention précise que Jules-Pierre Couyat a été autorisé à substituer à son nom patronymique celui de Barthoux par décret présidentiel du .