En plus du célèbre 1000 bornes, l'un des jeux les plus vendus dans le monde, il dessine également les logos de Béghin-Say (fabricant de sucre) et de La Pie qui Chante (fabricant de bonbons)[2], des étiquettes de bouteilles de vin, et bien des affiches dont celles du Vieux tonneau, de la margarine Céma.
↑Bruno Bokanowski, « Mille Bornes et 70 ans au compteur », La Revue du Jouet, (lire en ligne, consulté le ).
↑J. C., « Créé en Gironde en 1954, le jeu de société Mille bornes fête «70 ans de coups fourrés» », Le Figaro, .
↑Jean-Rémy Macchia, « Derrière les 1 000 Bornes, un prolifique graphiste breton », Ouest-France, (lire en ligne, consulté le ).
↑ a et bAlexandrine Bonoron, « Tony Durand, Mille et une bornes », Critique d’art. Actualité internationale de la littérature critique sur l’art contemporain, (ISSN1246-8258, DOI10.4000/critiquedart.109084, lire en ligne, consulté le ).
Jean-Rémy Macchia, « Derrière les 1 000 Bornes, un prolifique graphiste breton », Ouest-France, (lire en ligne, consulté le ).
Maxime Meyer, « Insolite. Le concepteur du jeu du "1000 Bornes" n'avait pas le permis, d'après l'enquête d'un graphiste », France 3 Grand Est, (lire en ligne).