Il devient prêtre au lendemain de la guerre 1914-1918, tout en poursuivant des études à la Sorbonne et à l'Institut catholique de Paris. Privilégiant l'enseignement et les travaux historiques, il est successivement professeur au petit séminaire de Reims en 1920, supérieur de l'institution Sainte-Macre de Fismes en 1930, puis curé de la paroisse de Saint-Nicaise à Reims en 1935 tout en enseignant l'histoire de la musique au conservatoire de Reims de 1941 à 1943. En 1943, il devient professeur d'histoire à l'Institut catholique de Paris en 1943[2].
Alain Peyrefitte, Notice sur la vie et les travaux de Monseigneur Jean Leflon (1893-1979) et Raymond Tournoux (1914-1984), Institut de France, .
Yves Marchasson, « In Memoriam. Monseigneur Jean Leflon (1903-1979) », Revue d'histoire de l'Église de France, t. 66, no 176, , p. 163-174 (lire en ligne).
Rédaction Le Monde, « Mgr LEFLON EST ÉLU en remplacement de Raoul Blanchard », Le Monde, (lire en ligne).
Rédaction Le Monde, « Académie des Sciences Morales et Politiques », Le Monde, (lire en ligne).
Jean-Baptiste Duroselle, « Jean Leflon. La crise révolutionnaire 1789-1846. (Histoire de l'Église depuis les origines jusqu'à nos jours, tome XX) », Revue d'histoire de l'Église de France, t. 36, no 128, , p. 209-212 (lire en ligne).
Jean-Rémy Palanque, « Jean Leflon. Histoire de l'Église de Reims du Ier au Ve siècle. (Histoire de l'Église depuis les origines jusqu'à nos jours, tome XX) », Revue d'histoire de l'Église de France, t. 29, no 116, , p. 279-280 (lire en ligne).