Personnalité bien connue de sa ville natale, artiste original et bohème[2], Jean Dols a longtemps eu sa propre galerie à Liège de 1960 à 1967 où il a pu promouvoir une génération de jeunes artistes[3].
Il a produit un œuvre gravé étalé de 1934 à 1950, que l'on a parfois comparé à celle d'Ensor, où la satire sociale et le sarcasme prédominent[4].
1992 : Rétrospective à la salle Saint-Georges de Liège : plus de cent gravures, une vingtaine d'huiles, quelques dizaines d'aquarelles, des affiches, des objets, des souvenirs et des portraits de lui par Grooteclaes, Scauflaire, Germeau, notamment[6]
2004 : Rétrospective pour les 10 ans de la mort de Jean Dols, Henri Thyssens, à Liège[7]
↑Jacques Parisse, Actuel XX: la peinture à Liège au XXe siècle, 1975, p. 25 : « L'étonnante et bohème personnalité de Jean Dols ».
↑Jacques Parisse, Actuel XX: la peinture à Liège au XXe siècle, 1975, p. 25 : « Galerie Jean Dols qui de 1960 à 1967, présenta les premières expositions de bien de nos artistes encore jeunes ».
↑Julie Croonen, « Allégories et illustrations littéraires dans l'œuvre de Jean Dols », dans : La chronique de l'Université de Liège, juin 2001.
Julie Croonen, « Allégories et illustrations littéraires dans l'œuvre de Jean Dols », dans : La chronique de l'Université de Liège, juin 2001 (lire en ligne).