En 1928, il fait paraître Les Étapes lucides. Simples réflexions et essais inspirés par quelques idées de ce siècle et autres penseurs... aux éditions bruxelloise Le Carnet indépendant[9].
En 1934, il publie son premier roman policier, Trois étages et un crime. Il crée le personnage de Rik Hullens, « inspecteur expert en police technique dont les aventures, aussi minces soient-elles, ne manquent pas d'un certain charme macabre, tel Le Détective épouvanté »[10], publié en 1941. Il est également auteur de romans d'amour et d'aventures.
En bande dessinée
En 1962, il aborde le monde de la bande dessinée et il fait son entrée au journal Spirou[11] comme coscénariste aux côtés de l'écrivain français Jean Portelle en écrivant Capitaine Morgan pour le dessinateur Gérald Forton, ce long récit est publié tardivement chez un petit éditeur en 2009. L'année suivante, il lance Roch Rafale pour la dessinatrice Yolande Canale avec l'épisode Le Faucon des tropiques. Il entame une nouvelle collaboration avec Gérald Forton pour lequel il écrit le scénarioL'Énigme de la formule JKO2 de l'éphémère série Cyril Sinclair en 1964. La même année, il écrit le deuxième volet des aventures de Roch Rafale cette fois pour le dessinateur Jacques Metayer. Puis, il s'éloigne de la bande dessinée.
Tirage limité 300 exemplaires. Numéroté au moyen d'un ex-libris justificatif collé dans l'album. Dossier introductif de 6 pages, réalisé en partie par Rémy Gallart.
Long récit à suivre, paru dans Bonnes Soirées du no 2007 au 2016 en 1960. Tirage limité 400 exemplaires - Numéroté au moyen d'un ex-libris justificatif collé dans l'album.
↑Lire : Jonkheer Walter van Dievoet, Dictionnaire des Orfèvres de Bruxelles au XIXe siècle, Louvain, 2003, p. 296 : "Oppitz Charles Henri. Joaillier, bijoutier. Né Bruxelles, 6 juin 1859, fils Henri Oppitz et Marie Thérèse Willems.
Épousa 1 Marie Charlotte Emilie Tscharner,
épousa 2 Alice Éléonore Wielmaecker.
Fils de Henri, Charles Henri Oppitz s'est installé comme joaillier le 12 septembre 1883 à la rue Blaes, 35. Dans les almanachs, il est appelé Charles fils pour le distinguer de son grand-père Charles. Il déménagea à la rue de la Reinette, 11 le 15 septembre 1889. Le 11 septembre 1911, il partit pour la rue du Midi, 149, où il travaillait avec son fils Henri Georges Émile sous la dénomination Ch. & H. Oppitz, maison fondée en 1851, fabrique de bijouterie et de joaillerie, bijoux d'art, spécialisé d'articles en diamants, perles et pierres fines."
↑L'architecte Philippe Dumont évoque son souvenir dans son livre La Panne. Chronique d'un temps perdu, Bruxelles : Louis Musin éditeur, 1981, p. 17 : « C'était ma jolie cousine Colette et son fiancé René Oppitz formant une image de grâce et d'amour, un couple de cygnes glissant sur les sables ».