Il ne s’appuie pas, ou pas assez, sur des sources secondaires ou tertiaires. (Marqué depuis décembre 2020)
Il contient une ou plusieurs listes. Le texte gagnerait à être rédigé sous la forme d’un ou plusieurs paragraphes synthétiques, afin d’être plus agréable à lire. (Marqué depuis septembre 2021)
Il a besoin d'un nouveau plan. (Marqué depuis septembre 2021)
Il arrête sa scolarité à l'adolescence[1]. Avant d'embrasser une carrière d'humoriste, il est moniteur d'auto-école et champion de Scrabble[2],[3], remportant à trois reprises le titre national belge[4].
Carrière
Jérôme de Warzée débute dans un café-théâtre, Le Koek's[5]. Son one-man-show intitulé La bombe textuelle le fait connaître du public en 2006[6].
En 2014, il a remporté 17 prix dans des festivals d'humour[7].
En 2010, il intègre la matinale de la station de radio VivaCité (RTBF), où il présente chaque matin un billet d’humour intitulé « Un Cactus dans le Waterzooi »[9], qui devient la chronique humoristique la plus écoutée en Belgique francophone[10].
Depuis il présente chaque semaine une parodie de journal télévisé à la fin de l'émission 7 à la une à la RTBF appelé Télé-Cactus, avec Fabian LeCastel[réf. nécessaire].
Depuis 2015, il présente Le Grand Cactus[12] qu'il a créé. Cette émission d’humour bimensuelle atteint des records d’audience[13],[14],[15] sur la chaîne La 2. L'émission revisite l'actualité de façon parodique, avec des skechs, des photomontages, des chroniques, des faux reportages, des imitations, etc.[16],[17],[18]. Selon La Libre, l'humour ne vole pas franchement haut, et La Libre indique que « Jérôme de Warzée a toujours revendiqué « la pantalonnade » à la « sauce belge » »[18]. Il co-présente l’émission avec Adrien Devyver. En 2019, sa chronique sur des résultats d'élection provoque une réaction critique du secrétaire à l’asile et à la migration Théo Francken[19],[20].