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La première levée du Grand Chelem de Rod Laver et la création du statut de Lucky loser
En battant en finale, son compatriote Ken Rosewall, l'Australien Rod Laver réalise la première levée des quatre, constitutives de son second Grand Chelem -après celui de 1962-, le premier de l'Ere Open...
Le tableau du Simple Messieurs ayant compté 31 défections de dernière heure, lors de l’édition précédente, en , en raison des difficultés à rallier Paris lors des mouvements sociaux, les organisateurs décident, en ce printemps 1969, de repêcher dorénavant, par tirage au sort, les « heureux perdants » du dernier tour qualificatif, pour éviter les déprogrammations dans le tableau final, à la suite des forfaits tardifs de certains participants, et ne pas exonérer de match leurs adversaires initiaux, à l’exception des têtes de série qui ne pouvant -à l’époque- se voir opposer à ces perdants « repêchés », se trouvent ainsi qualifiés d'office pour le tour suivant. Le statut de Lucky loser, ainsi créé, sera progressivement adopté par les trois autres tournois du Grand Chelem. L'Iranien Mohammad Reza Akbari et l'Australien Alvin Gardiner en seront les deux premiers bénéficiaires de l'histoire.
Pour la première fois, afin de faire face au nombre croissant de postulantes, un tableau qualificatif de 64 joueuses, délivre, au terme de 3 tours, 8 sésames pour le tableau final. Anne-Marie Rouchon et Nicole Cazaux sont les deux premières Françaises de l'histoire du tournoi, à s'extraire de l'épreuve, déjà en vigueur depuis 12 ans chez les Messieurs, pour rallier le tableau final.