Hugues Salomon du Quiliou est le fils de Salomon du Quiliou. Il est probablement originaire du duché de Bretagne[1],[2].
Sa pierre tombale est retrouvée à Ascalon à la fin du XIXe siècle par un ancien consul de France à Jaffa est estimée être du XIIe siècle et indique :
« Mareschaudus Hugo Salomonis de Quiliuco Templi milicie providus eximie, Miles bellator, fortis pedes assiliator, Hostibus horribilis, cum sociis humilis, Tormenti stratus ictu lapidis, tumulatus, Ut legitur titulo, conditur hoc tumulo. »[3]
(en) Jochen Burgtorf, The Central Convent of Hospitallers and Templars : History, Organization, and Personnel (1099/1120-1310), Leiden/Boston, Brill, , 761 p. (ISBN978-90-04-16660-8, présentation en ligne, lire en ligne)
Emmanuel Guillaume Rey, « L'ordre du Temple en Syrie et à Chypre, les Templiers en Terre Sainte », Revue de Champagne et de Brie, , p. 241 à 256 et 367 à 379 (lire en ligne, consulté le )
↑Pierre-Vincent Claverie, « Notes sur l’onomastique franque durant les croisades et quelques énigmes prosopographiques », Egypt and Syria in the Fatimid, Ayyubid and Mamluk Eras, vol. VIII, , p. 145-162 (lire en ligne, consulté le ).
↑ ab et cMémoires de la Société nationale des Antiquaires de France, t. 43, (lire en ligne), p. 444-446.}}