Lorsqu’il revient à Lambaréné en 1924, Albert Schweitzer construit alors le deuxième hôpital, qui sera achevé en , avec une capacité d’accueil de 150 patients[1].
À la suite d'une famine et d'une épidémie de dysenterie qui sévissent au début de 1926, Albert Schweitzer se rend compte que son hôpital est trop petit par rapport aux besoins et qu’il ne peut pas l’agrandir sur le terrain qu’il possède ; il décide donc de construire un troisième hôpital, quelques kilomètres plus loin, sur un terrain plus grand. L’ancien hôpital est déménagé dans les nouveaux bâtiments le [1].
Augustin Emane, Docteur Schweitzer, une icône africaine, Paris, Fayard, , 288 p. (ISBN9782213672540)
Ladislas-Jean Goldscheid, La dermatologie à Lambaréné, Université de Strasbourg, 1948, 111 p. (thèse de médecine)
Jo Munz et Walter Munz (trad. Jean-Paul Sorg, préf. Bernard Kouchner), Cœur de gazelle et peau d'hippopotame : les dernières années d'Albert Schweitzer à Lambaréné et l'évolution de son hôpital jusqu'à nos jours, Colmar, J. Do Bentzinger, , 274 p. (ISBN2849600938)
Gérard Schuffenecker, Lambaréné : hôpital de brousse, Strasbourg, Éditions des Dernières nouvelles d'Alsace, ISTRA, , 142 p. (ISBN2-7165-0050-9)
Jean-Paul Sorg, « Les 100 ans de l'hôpital de Lambaréné », Évangile et Liberté, vol. 10, no 272, , p. 9-15
Patrick Wendling, L'hôpital Albert Schweitzer à Lambaréné, Colmar, J. Do Bentzinger, , 96 p.
Roland Wolf, « L'hôpital Albert Schweitzer 1913-2015 », dans Benoît Wirrmann et Jean-Paul Sorg (dir.), Albert Schweitzer, entre les lignes, Strasbourg, Bibliothèque nationale et universitaire, (ISBN9782859230593), p. 195-207
Marie Woytt-Secretan, Albert Schweitzer construit l'hôpital de Lambaréné , Paris, Strasbourg, Oberlin, , 112 p.
Patrick Zirnheld, L'hôpital de Lambaréné : l'expérience d'Albert Schweitzer de 1913 à 1965 (thèse de médecine), Université de Strasbourg, , 189 p.