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Au début de la Seconde Guerre mondiale, Hélène Terré est fonctionnaire à la Croix-rouge. Lors d'une mission en Angleterre, où elle vient récupérer des médicaments et des vitamines pour des enfants français, elle est arrêtée et emprisonnée trois mois à l'initiative de Jacques Meffre, chef des services de sécurité chargé d'identifier les agents infiltrés. Malgré cet épisode, elle s'engage ensuite dans le Corps des Volontaires françaises[4].
Coucou La Goutte Plays her Part in the War. A tale for children, édition bilingue (anglais et français : Coucou La Goutte joue son rôle dans la guerre. Un conte pour enfants), 55 p. (25 illustrations de l’autrice), Londres, Chatto & Windus, 1942
Volontaires pour la France, Ministère de la Guerre, 16 p. (83 illustrations),
L’Enseignement aux États-Unis, no 18, Institut pédagogique national, Imprimerie Nationale, 131 p., 1963
Articles
« I am still frightened of keys » (sous le pseudonyme de Geneviève de la Salle et en anglais), in Allan A. Michie et Walter Graebner (dir.), Lights of Freedom – The War in the 1st Person[6], éd. George Allen & Unwin (avec Life Magazine), , p. 75-90
« Les volontaires féminines. Des forces françaises combattantes », Le Journal de Waterloo (district de Bedford, Québec), 16.04.1943 (62e année, no 13) ; une version numérique est disponible ici.
« Amitiés de guerre », Revue de la France Libre, no 64, (disponible sur le site france-libre.net)
« Les volontaires françaises à Londres », Revue de la France Libre, no 187, août-septembre-, p. 31-32 (disponible sur le site france-libre.net)
Sébastien Albertelli, Elles ont suivi de Gaulle, Perrin,
Jean-Louis Crémieux-Brilhac, La France libre, folio histoire (2 vol., 1470 p.), 2013 (Hélène Terré citée p. 115, 707 et 738)
Jean-François Muracciole, Les Français libres. L’autre résistance, Tallandier, 2009 (chapitre « Les oubliés de la France libre : femmes, étrangers, coloniaux »)
Elodie Jauneau, « La féminisation de l’armée française pendant les guerres (1938-1962) : enjeux et réalités d’un processus irréversible », thèse (Université Paris Diderot-Paris 7, dir. Gabrielle Houbre), 2011 (disponible en ligne ici)
Fabrice Marti, « Françaises en uniforme. Des femmes éprises de liberté (1940-1946) », master II (Montpellier III, dir. Jean-François Muracciole)
Janine Hoctin-Boulanger, « Les volontaires féminines de la France libre », 39-45 Magazine, no 118, (p. 7-19) et Revue de la France libre, no 295, 3e trimestre 1996 (p. 11-14) ; cet article peut être lu sur le site www.france-libre.net édité par la Fondation de la France Libre, qui rassemble aussi sur cette page les références (et les liens y menant) de différents articles relatifs au Corps des volontaires françaises qui ont paru dans la Revue de la France Libre.
Tereska Torrès, Une Française libre. Journal 1939-1945, Phébus, 2007 (H. Terré citée p. 131, 185, 205, 213, 219, 222)
↑Ce volume fait suite à Their Finest hour, paru à l’automne 1940 (par les mêmes Michie et Graebner) ; leur objet est de rassembler des « récits d’expérience personnelle » (sous-titre du 2nd volume).
↑Un extrait du discours prononcé par Hélène Terré « Aux étudiants d’Oxford » le 27 novembre 1942, et reproduit dans le tapuscrit « Nous entrerons dans la carrière », est lu par Mélodie Orru, dans l'émission « Le Cours de l'Histoire » du 3 mars 2020 sur France Culture (« Sœurs d'armes, femmes en guerre », invité.e.s Julie Le Gac et Sébastien Albertelli, à partir de 14'30).