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Il succède donc au gouvernement Simítis I, constitué et soutenu dans les mêmes conditions.
Formation
Au cours du scrutin législatif, le PASOK enregistre un recul de plus de cinq points, ce qui se traduit par une perte de huit sièges sans mettre en danger sa majorité absolue. La Nouvelle Démocratie (ND) de Miltiádis Évert est elle aussi en repli, mais bien plus léger. À la gauche des socialistes, le KKE, le Synaspismós et le DIKKI(el) réunissent 30 parlementaires, un record depuis la fin de la dictature des colonels.
En , le Premier ministre annonce la convocation d'élections anticipées pour le . Il explique son choix par la nécessité de bénéficier d'un mandat clair pour mener les réformes qu'il juge nécessaire à l'intégration de la Grèce au sein de l'Union économique et monétaire (UEM)[1].
Au cours du scrutin, le PASOK perd quatre nouveaux sièges bien qu'il progresse en voix. Pour la première fois depuis le rétablissement de la démocratie en 1974, un parti remporte trois fois de suite la majorité au Parlement. En conséquence, Konstantínos Simítis met sur pied son troisième et dernier exécutif.
Composition
Initiale (25 septembre 1996)
Les nouveaux ministres sont indiqués en gras, ceux ayant changé d'attributions en italique.