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Au cours du scrutin législatif, le PASOK progresse de plus de deux points et totalise 43,8 % des voix. Toutefois, la poussée de la Nouvelle Démocratie (ND), dont le résultat augmente de près de cinq points, fait perdre quatre nouveaux sièges aux socialistes, sans remettre en cause leur majorité absolue.
Devenu impopulaire en raison d'un sentiment de baisse du niveau de vie des Grecs, malgré ses réussites économiques et diplomatiques, le Premier ministre annonce le qu'il renonce à présider le PASOK et convoque les élections législatives pour le suivant. Il est remplacé un mois plus tard à la direction du parti par son chef de la diplomatie Giórgos Papandréou, personnalité extrêmement populaire et fils du fondateur du PASOK[2].
Mais lors des élections, Papandréou échoue à inverser la tendance indiquée par les sondages et la ND de Kóstas Karamanlís, neveu du fondateur du parti, remporte la majorité absolue. Karamanlís peut ainsi constituer son premier cabinet.
Composition
Initiale (13 avril 2000)
Les nouveaux ministres sont indiqués en gras, ceux ayant changé d'attributions en italique.