Voyages dans Paris, première représentation au Théâtre de la Porte Saint-Martin, à Paris, en 1891[4].
Les Marionnettes de l'année, première représentation au Théâtre de la Renaissance, à Paris, en 1891[4].
La Dot de Brigitte, opérette en 3 actes, livret de Paul Ferrier, Antony Mars, musique de Victor Roger, Gaston Serpette, avec Juliette Simon-Girard (Brigitte), Félix Huguenet (le colonel), Germaine Gallois (Hortense), première représentation : Théâtre des Bouffes-Parisiens, .
Ninette, opéra-comique en 3 actes, livret de Charles Clairville, musique de Charles Lecocq, avec Germaine Gallois (Ninon de Lenclos), Piccaluga (Cyrano), première représentation : Théâtre des Bouffes-Parisiens, .
L'Œil crevé, opéra-bouffe en 3 actes, texte d'Hector Crémieux, musique d'Hervé, avec Germaine Gallois, Gabrielle Méaly, Théâtre des Variétés, .
Monsieur Lohengrin, opérette en 3 actes, livret de Fabrice Carré, musique d'Edmond Audran, avec Hittemans (Billemote), Charles Lamy (Boussard), Germaine Gallois (Cécile Blandin), première représentation : Théâtre des Bouffes-Parisiens, .
Le pompier de service, première représentation au Théâtre des Variétés à Paris, en 1897[4].
Les petites Barnett, première représentation au Théâtre des Variétés à Paris, en 1898[4].
La Fille de Madame Angot, opérette en 3 actes, texte de Clairville, Paul Siraudin, Victor Koning, musique de Charles Lecocq, avec Jeanne Saulier (Clairette), Germaine Gallois (Mademoiselle Lange), Théâtre des Variétés, .
Un petit trou pas cher, comédie en un acte de Yves Mirande et Henri Caen, Comédie Royale, .
Mozart, comédie musicale en trois actes de Sacha Guitry, musique de Reynaldo Hahn, théâtre Édouard VII, Germaine Gallois (Madame d'Epinay), 1925, reprise à Londres en [14].
Œuvres musicales
« Ce que l'on rêve », de Rodolphe Berger, avec Germaine Gallois comme chanteuse ; dont un enregistrement en 1902[4].
« Amoureuse », de Rodolphe Berger, 3 éditions entre 1905 et 1906[15].
« Sourire d'avril », de Maurice Depret, avec Germaine Gallois comme chanteuse[4] ; 3 éditions en 1906[15].
« Griserie de caresses », de Germaine Gallois (auteure et interprète), éditée à New-York par Columbia en 1906[15].
« Tout passe », de Rodolphe Berger, avec Germaine Gallois comme chanteuse[4] ; 5 éditions en 1906[15] ; un enregistrement édité en 1996[4].
« 1900-1920 » avec Germaine Gallois comme chanteuse ; enregistrement édité en 2000[4].
↑ qui compose notamment pour cette revue, la célèbre chanson, Frou-frou.
↑Les auteurs de Pâris ou le bon juge comptent sur les appas peu dissimulés d'Alice Bonheur, Germaine Gallois, Renée Desprez et Jeanne Dirys; et les drapages savants, « qui accusent par devant et trahissent par derrière ».