Georges Fontès
Georges Fontès, né le à Béziers (Hérault) et mort le à Saint-Chinian[1],[2], est un homme politique français. Décrit comme « gaulliste » à la fin de sa vie[1], il a d'abord été membre de la SFIO (depuis 1948[3]) puis du PS et du PSD[réf. souhaitée], pour rejoindre ensuite, dans les années 1980, les rangs du RPR[3], enfin de l'UMP. BiographieGeorges Fontès, fils d'un conducteur de camion et d'une femme de ménage[1], a combattu comme engagé volontaire dans la 1re armée en 1944-45[3]. Il a d'abord été directeur de plusieurs administrations : la caisse primaire d'assurance maladie, puis l’URSSAF. Il a été[Quand ?] vénérable de la loge Réunion des amis choisis de Béziers, mais fut ensuite exclu du Grand Orient de France pour « inassiduité », s’étant rapproché du Front national[4],[3]. Il a fondé une Association pour le rétablissement de la peine de mort[4]. MandatsAnciens mandats locaux
Au cours de son mandat de maire de Béziers, il a mis en œuvre la construction du Pont d'Occitanie (devenu à sa mort Pont Georges Fontès) sur l'Orb en 1988 et le Stade de la Méditerranée (aujourd'hui stade Raoul Barrière ) en 1989, ainsi que la construction du parking de la Madeleine (aujourd'hui Halles 2)[1]. Anciens mandats et fonctions nationaux
Décorations
Notes et références
Liens externes
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