Frank Bidart envisage sa vocation de poète lorsqu'en 1957, après ses études secondaires au Garces Memorial High School de Bakersfield, il fait ses études à l'Université de Californie à Riverside, là, il y découvre les œuvres de T.S. Eliot et d'Ezra Pound. Son amour de la poésie se confirme lorsqu'il poursuit ses études à Harvard, et rencontre Robert Lowell, Elizabeth Bishop[3] et Reuben Brower[7] avec lesquels il travaillera.
En 1973, Frank Bidart publie son premier recueil de poésie Golden Gate, inspiré par l'expérience la plus intime de la culpabilité. Ses poèmes sont souvent de longs monologues dramatiques, il reprendra les vies de Herbert White[8], Ellen West, et de Vaslav Nijinsky. comme support de son inspiration. Frank Bidart parle ouvertement de son homosexualité dans ses divers poèmes[9],[10].
Œuvres
Ses œuvres ne sont pas encore traduites en français.
Golden State, éd. George Braziller, 1973.
The Book of the Body, éd. Farrar, Straus & Giroux, 1977,
The sacrifice, éd. Vintage Books, 1983,
In the Western Night: Collected Poems 1965–90, éd. Farrar, Straus and Giroux, 1991,
Coming Home, Coming Out : Poet and Native Son Frank Bidart Creates Stir in His Return to Bakersfield, par Mark Arax pour le Los Angeles Times, 1997[29].
Notes et références
↑(en) « Frank Bidart | American poet », Encyclopedia Britannica, (lire en ligne, consulté le )
↑(en) « Frank Bidart », sur Wellesley College (consulté le )
↑ a et b(en) Frank Bidart, « Frank Bidart », sur Frank Bidart, (consulté le )
↑(en) aapone, « chancellors », sur chancellors, (consulté le )
↑(en) « An Interview with Frank Bidart », Poetry Center, (lire en ligne, consulté le )
↑(en-US) Elizabeth Lund et Elizabeth Lund, « Frank Bidart, Mary Jo Salter and Mary Jo Bang: Poets on desire and politics », The Washington Post, (ISSN0190-8286, lire en ligne, consulté le )
↑(en-US) MARK ARAX, « Coming Home, Coming Out : Poet and Native Son Frank Bidart Creates Stir in His Return to Bakersfield », Los Angeles Times, (ISSN0458-3035, lire en ligne, consulté le )