L'unité est initialement rattachée à la 7e armée. Le , elle devient le Détachement Nieuport de Corcieux, le le Détachement N73, et le l'escadrille N73. Le , elle fait partie des unités fusionnées dans le groupe de combat no 12 (appelé aussi escadrille des Cigognes), aux côtés des escadrilles N3, N26, et N103. L'escadrille est équipée d'appareils SPAD VII en et devient l'escadrille Spa73[1]. Elle quitte l'Escadrille des cigognes le , laissant sa place à l'Escadrille 67[2]. Le , l'escadrille Spa73 est citée pour avoir abattu 30 avions ennemis et un ballon d'observation[1],[3]
Norman Franks et Frank W. Bailey, Over the Front : A Complete Record of the Fighter Aces and Units of the United States and French Air Services, 1914-1918, Grub Street, (ISBN0-948817-54-2 et 978-0-948817-54-0)
(en) Frank W. Bailey et Christophe Cony, French air service war chronology, 1914-1918 : day-to-day claims and losses by French fighter, bomber and two-seat pilots on the Western Front, Londres, Grub Street, , 327 p. (ISBN978-1-902304-34-2, OCLC41620860).
(en) James J. Davilla et Arthur M. Soltan, French aircraft of the First World War, Boulder, Colo, Flying Machines Press, , 618 p. (ISBN978-1-891268-09-0, OCLC51544692).
David Jean, Bernard Palmieri et Georges-Didier Rohrbacher, Les escadrilles de l'aéronautique militaire française : symbolique et histoire, 1912-1920, Vincennes, Service historique de l'armée de l'air, , 607 p. (ISBN978-2-11-094692-8, OCLC470505455)