L'intime, la famille et l'identité sont au cœur de son œuvre. Il publie Hobbledehoy[3] (éditions Terre Bleue, 2013, (ISBN978-2-909953-30-4)) en collaboration avec l'écrivain français Emmanuel Carrère. Des tirages issus de cet ouvrage ont été exposés lors du festival photographique des Rencontres d'Arles (2014)[4], à la galerie Le Château d'Eau à Toulouse (2015)[5], au Lentos Kunstmuseum à Linz en Autriche (2015-2016)[6] et au Monat der Fotographie à Berlin (2014)[7].
Dans ses séries photographiques, Love Lane (2015) et The Wait (2015-2016), Ed Alcock explore les ravages engendrés par les secrets de famille. Ses travaux ont été exposés au Point Éphémère à Paris lors du festival Myop in Paris[8] (2015) et lors de Photo London par la galerie Seenfifteen (2015)[9].
Son travail sur la relation entre l'homme et l'animal, Entre chien et loup[10], a été exposé au Festival Photo La Gacilly, Baden Photo Festival et Myop in Arles 2019[11].
Dans sa dernière série Home, sweet home, initiée par le Brexit, Ed Alcock engage une réflexion sur sa mutation identitaire et celle de son pays d’origine, le Royaume-Uni. Il interroge le sentiment d’appartenance à une nation, celle que l’on appelle “Home”. Se sentant exclu par un pays de plus en plus replié sur lui-même, le photographe a obtenu la nationalité française en 2018. Home, sweet home est paru dans un Myopzine[12] (Myop Editions, 2018, (ISBN979-10-97503-12-3)), et a été exposé au 104 à Paris lors du Festival Circulation(s) (2019)[13],[14],[15],[16],[17],[18] et aux Rencontres International de la Photographie d'Arles (2019)[19].